. Dictionnaire de physiologie. Physiology. ^ FiG. 29. â Section du cÅur d'un jeune rat, mon- trant l'union do l'oreillette jjanche avec le ven- tricule gauche. Les fibres musculaires auriculaires se continuent avec celles du ventricule et avec celles de la valvule auriculo-ventriculaire. LA, oreillette gauche. â LV, ventricule gauche. â VAL, valvule auriculo-ventriculaire. (Stanley liENT.). â Section du cÅurd'unlai adulte. 11 n'y aau- cune discontinuité de la masse musculaire. (Stan- ley Kent.) tinuité dans le développement ontogénique s'effectue par une invagination de la paro
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. ^ FiG. 29. â Section du cÅur d'un jeune rat, mon- trant l'union do l'oreillette jjanche avec le ven- tricule gauche. Les fibres musculaires auriculaires se continuent avec celles du ventricule et avec celles de la valvule auriculo-ventriculaire. LA, oreillette gauche. â LV, ventricule gauche. â VAL, valvule auriculo-ventriculaire. (Stanley liENT.). â Section du cÅurd'unlai adulte. 11 n'y aau- cune discontinuité de la masse musculaire. (Stan- ley Kent.) tinuité dans le développement ontogénique s'effectue par une invagination de la paroi cardiaque entre les oreillettes et les ventricules, d'où les voiles valvulaires des orifices auriculo-ventriculaires prennent leur origine. Entre les deux feuillets myocardiques s'insinue ensuile le feuillet viscéral du péricarde; vers le bord libre du pli valvulaire, la substance musculaire disparaît peu à peu, et il n'en reste plus que quelques traces rares dans les fibres myocardiques découvertes par Pal.^dino au milieu des voiles valvu- laires; les couches connexes de tissu connectif d'origine péricardique et endocardique H. Milne-Edwards (m, !i03-!i04) se borne à dire, à propos de l'oreillette gauche, que, chez l'homme, la disposition des divers faisceaux musculaires est surtout très compliquée à la partie supérieure de l'oreillette gauche, oii ils s'entre-croisent pour embrasser la base des veines pulmo- naires. Et, pour l'oreillette droite, il s'exprime ainsi: (. Dans l'oreillette droite, la distinction entre la portion principale (ou sinus), et l'appendice auriculaire est moins nette que dans roreillctte gauche, et les colonnes charnues qui font saillie dans l'intérieur de cet organe sont plus nom- breuses et plus fortes; les principaux de ces faisceaux s'élèvent de la portion inférieure de l'oreillette prés de l'orifice ventriculaire, et rayonnent vers l'appendice auriculaire, disposition qui leur a valu le
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