L'antisepsie dans la pratique de la chirurgie journalière . une boîte en cuivre, àdouble paroi, renfermant sept boîtes en cuivreégalement, dans lesquelles on place les instrumentset les pièces de pansements. Les instruments sont 6l METHODE ANTISEPTIQUE mis dans la boite supérieure qui souvent atteintune température plus élevée. On peut obtenir150°, ce que constate un thermomètre à maximaplacé dans une des boîtes; un autre thermomètre Fig. 1. Autoclave de Redard. placé dans lune des cheminées permet de suivrela marche de la température. — Les objets conte-nus dans les boîtes peuvent y être con


L'antisepsie dans la pratique de la chirurgie journalière . une boîte en cuivre, àdouble paroi, renfermant sept boîtes en cuivreégalement, dans lesquelles on place les instrumentset les pièces de pansements. Les instruments sont 6l METHODE ANTISEPTIQUE mis dans la boite supérieure qui souvent atteintune température plus élevée. On peut obtenir150°, ce que constate un thermomètre à maximaplacé dans une des boîtes; un autre thermomètre Fig. 1. Autoclave de Redard. placé dans lune des cheminées permet de suivrela marche de la température. — Les objets conte-nus dans les boîtes peuvent y être conservés pen-dant longtemps à létat stérile, jusquau momentdu besoin. ?4t<a/eott^ /<< <** .titif/1, ê3 , au ^ cfTiMg. ASEPSIE PAR LA CHALEUR SECHE 65 Cet appareil présente donc de sérieux avantagespour le praticien qui a une clientèle chirurgicaleassez nombreuse et variée, car il peut emporterfacilement les boîtes dans lesquelles se trouventles objets stérilisés. La boîte nest ouverte quaumoment de sen Fig. érilisateur universel de Poupinel, /// Seulement Iétuve comme lautoclave est un ins-trument qui demande beaucoup de soins, et qui peutdonner des résultats irréguliers; la températurey est difficile à régler; en outre il reste quel- Nicmsb, Antisepsie. 4, 66 MÉTHODE ANTISEPTIQUE quefois un certain doute sur lasepsie réelle desobjets. Asepsie par un liquide en ébullition, soit simple,soit additionné dune substance antiseptique. —Nous signalerons le bain dhuile dans lequelTripier, de Lyon, immergeait ses était portée il la température de 120 à130° et on y laissai! les instruments pendant dixminutes. — Poucet, de [.von, a remplacé lhuilepar la glycérine (bientôt abandonnée), puis par lavaseline liquide, qui ne bout quau delà de 300. Aujourdhui on préconise beaucoup lemploi deleau bouillante, comme agent de stérilisation, cequi certes est une simplification importante de lamé


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