. Pievx desirs imites des latins . ge, & fe pu-nit foy me (me. Ce iuge incorruptible, cette confeience, àisaureilles, & fans yeux, pour veoir les éts,& efeouter les plaintes, quoy quel- m Gen*le en ayt pour defcouurir &c recognoiftreles crimes du coulpable, quand elle sefïeue& Ce bande contre lhomme, cet vn huilîierirnporrun,vn greffier fcrupuleux, vn prefi-dent rigoureux,elle crie à haute voix,enre-giftre les coulpes, les publie, les reproche*£c comme ligne à ligne, elle met deuant lesyeux du pécheur la multitude de fes îniqui-tez. Percez dôccV clouez ma chair auec vo-
. Pievx desirs imites des latins . ge, & fe pu-nit foy me (me. Ce iuge incorruptible, cette confeience, àisaureilles, & fans yeux, pour veoir les éts,& efeouter les plaintes, quoy quel- m Gen*le en ayt pour defcouurir &c recognoiftreles crimes du coulpable, quand elle sefïeue& Ce bande contre lhomme, cet vn huilîierirnporrun,vn greffier fcrupuleux, vn prefi-dent rigoureux,elle crie à haute voix,enre-giftre les coulpes, les publie, les reproche*£c comme ligne à ligne, elle met deuant lesyeux du pécheur la multitude de fes îniqui-tez. Percez dôccV clouez ma chair auec vo- crainte,o Seigneur, que mon cœur se- médit»iiouidè en telle iorte,quil craigne & redou- caPl**tetoufiours mienne volôtéque moname pèche relie vous craignit con-tinuellementaudy fort,,qui Taduoùoit en fes paroles. Vaytoufiours craint Dteu,comme ie crainàoU me gran-de rautne deaux,& des flots efcumcux,qmferojentpreilspour mengloutir. Peftour<. inerte octâcs me os ne vide ont vanitatem. Tfd. ne. ZO SOVHA I T S, 199 V. Dcftourne mes yeux, afin quils ne voyencpoint vanité. Pjal. 118. D Eux feux efgaux, deux esloilesiumelles,Veillent fans cefieaufommet de mon chef;Itpour preuoirïacu^ de tout mefihef,Doibuent touftours tenir leurs fentinelles, lenefcaurois les mettre entre les fermes,Ny plus auffyparmy les feux à bon drmt efîans en ces deux rangs;Ils ont deux noms tirez, de ces deux termes. Soutient tous deux négligent tout ngime,Irrant bien loing de lofpce chacun deux a des préceptes fix,Tour demeurer en [on lieu légitime. Fermes tous deux dans leur demeures deux errans dvn mouuement lé quOedipe aura droicl de lugerlSi lon luy feint des e(loties femblables, Vous,o mes yeux, vous 0 doubles lumières,Oui niafitften auecijues vos e[clairs,Vous feulement efiesces astres clairs,Dont les deux feux luttent foubs mes paupières. Vous quideuez. tenir eflroitte garde,Ztbien
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