. Histoire des philosophes modernes. nier. (<t) On appelle miVi^K tout Ce que la lumière pctttttavcifei en ligne dioitc. Ffiv 344 SGRJVESANDE. 5 °. Si des rayons parallèles paflent dunmilieu quelconque dans un autre milieudune denlité difFcrente, ils feront pa-rallèles après la réfradtion. 6. On appelle rayons de différente ré-frangibdité ^ les rayons qui néprouventpas la môme réfradion. Ce fontcei dif-férentes réfrangibilités qui forment lescouleurs. Les couleurs dépendent de trois cho-fes : des rayons de lumière tels quilsnous viennent du foleil, de la réflexionde ces rayons par les corps


. Histoire des philosophes modernes. nier. (<t) On appelle miVi^K tout Ce que la lumière pctttttavcifei en ligne dioitc. Ffiv 344 SGRJVESANDE. 5 °. Si des rayons parallèles paflent dunmilieu quelconque dans un autre milieudune denlité difFcrente, ils feront pa-rallèles après la réfradtion. 6. On appelle rayons de différente ré-frangibdité ^ les rayons qui néprouventpas la môme réfradion. Ce fontcei dif-férentes réfrangibilités qui forment lescouleurs. Les couleurs dépendent de trois cho-fes : des rayons de lumière tels quilsnous viennent du foleil, de la réflexionde ces rayons par les corps, & de lafuperficie des corps différemment colo-rés. Ce font comme les trois principesde la théorie des couleurs qui eft déve-loppée dans lHiftoire de Newton. Carceii cette théorie que fuit S G R av e-SAnde; de même que pour celle dumouvement des corps céleftes, il adoptela doftrine de ce même fur ces deux articles fon Hifloiredans le Tome IV de cette Hiftoire desPhilofophes 345 MUSCHENBROEK.* LE Do£leur Defagullers, en faifant imcours dexpériences en Hollande,& Sgravefande en y cultivant la Phyfi-que avec le fuccès quun vient de voir,inlpirèrent le goût de cette belle fciencedans les Provinces-Unies , & enflammè-rent tout le monde de Ion amour. Lesperlonnes du premier rang létudièrentavec ardeur : les Marchands en firent unepartie de leurs occupations; ëc les Ar-tifans qui en entendoient parler tousles jours, voulurent la connoître. Il nyeut perfonne, de quelque condition ÔCquelque état quelle fût, qui ne défirâtêtie Phyficien ; mais il ny avoit queceux qui étoient favans dans les Ma-thématiques qui puffent entendre parfai-tement les Ouvrages de Dsjagulkrs &cde ^Sgravcfande. Le voeu général étoitquon facilitât létude de la Phyfique . * Mcmoirei fur la vie , /es emplois & les écrits de , Communiqués en maiiufcrif pi:r de Mujchenbroel; , Contciilei & Ecacvinde la


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