. L'art chrétien primitif. 1-2. Sarcophages du iii^ siècle, Musée du Latran (phot. Andersen). 3. Sarcophage du iv^ siècle au Musée du Latran (phot. Andersen), 4. Sarcophage de Marseille (Le Blant, 12). Planche I. Sarcophage dOrcste, Musée du Latran, 11^ s. (phot. Alinari).2. Sarcophage au décor architectural, Musée dn Latran, milieu duIV^ s. (phot. Anderson). — 3. Sarcophage dAdelphia, Musée deSyracuse (phot. Brogi). LA SCULPTURE FUNÉRAIRE 145 farouches, ces apôtres fièrement obstinés, Pierre et Paul,et ce Christ surtout, dont la divine jeunesse trône, impé-rieuse et sereine, dans les ha


. L'art chrétien primitif. 1-2. Sarcophages du iii^ siècle, Musée du Latran (phot. Andersen). 3. Sarcophage du iv^ siècle au Musée du Latran (phot. Andersen), 4. Sarcophage de Marseille (Le Blant, 12). Planche I. Sarcophage dOrcste, Musée du Latran, 11^ s. (phot. Alinari).2. Sarcophage au décor architectural, Musée dn Latran, milieu duIV^ s. (phot. Anderson). — 3. Sarcophage dAdelphia, Musée deSyracuse (phot. Brogi). LA SCULPTURE FUNÉRAIRE 145 farouches, ces apôtres fièrement obstinés, Pierre et Paul,et ce Christ surtout, dont la divine jeunesse trône, impé-rieuse et sereine, dans les hauteurs de lempyrée. Pourquoi une telle œuvre est-elle unique dans la sculp-ture chrétienne dOccident aux premiers siècles? Cest sansdoute que les soucis industriels avaient tari toute émula-tion dart. Il faut dire aussi que le sarcophage de JuniusBassus, ayant été placé dans lobscurité des cryptes du Vati-can, dut rester à peu près inconnu. Ces deux raisons ne secontredisent pas. Elles ont contribué toutes deux à rendreinutile la leçon de beauté que contenait le chef-dœ dune fois, on en revint au type de cuve quil avaitconsacré : jamais pareil résultat ne fut obtenu 1.


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