Tissus et nouveauts 1900 . ir, rubans vert deau, \7OT0I comment le Marquis deValfon décrit une toiletteeh 1786 :•• La Duthé était dernièrementà lOpéra avec une robe de »»«-pirs étouffés orné de regrets su-perflus, un ]Kiint au millien. sacandeur parfaite garnie eu plain-tes indiscrètes, des rubans et at-tentions marquées, dessouliers cheveux de lareine, lire niés de dia-mants en coupsperfideset les venez-y voir enémeraudes, frisés desentiments .. soutenus,avec un bonnet de con-quête assurée, garni deplumes volages et deruban œil abattu, unchat sur le col couleurgueux nouvellement ar-rivé. Nest


Tissus et nouveauts 1900 . ir, rubans vert deau, \7OT0I comment le Marquis deValfon décrit une toiletteeh 1786 :•• La Duthé était dernièrementà lOpéra avec une robe de »»«-pirs étouffés orné de regrets su-perflus, un ]Kiint au millien. sacandeur parfaite garnie eu plain-tes indiscrètes, des rubans et at-tentions marquées, dessouliers cheveux de lareine, lire niés de dia-mants en coupsperfideset les venez-y voir enémeraudes, frisés desentiments .. soutenus,avec un bonnet de con-quête assurée, garni deplumes volages et deruban œil abattu, unchat sur le col couleurgueux nouvellement ar-rivé. Nest-ce pas adora-ble, et, cette courtecitation ne suffit-ellepas à montrer quelleimportance les fem-mes, à cette charmanteépoque, donnaient à latoitette ? Tout événement unpeu marquant étaitalors prétexte à modenouvelle, .. depuis .. lacoiffure à la belle Poulequi mit sur la tête desélégantes une frégateentière, mats, canonset cordages, jusquàcelle à la eaisse des-compte, chapeaux où. plumes de héron et plumes vert deau, manquaient les fonds !Cheveux poudrés. Fichu de mousse- .vws-mtnu-line. Casaquin de soie ravé, jaune et , , ^ . >aqum oe soie rayé, jaune « , -noir. Collets et revers de soie vert les modes adeau. Gilet de soie blanche. Paniers laBoston,à,lade soie à petits dessins sur fond claie /) • ,,Jupe rayée a fond clair et à fleurs. J Jj il • au ... cinu pie rendu, de Necker, à la Mrmtgolfier, etc., etc. Cependant, dès 1785, les modes qui jusque làont été poussées presque jusquà lextravagance,se simplifient. Les paniers ne se portent guèreplus ipie pour les grandes cérémonies de la cour;on les remplace par des jupons empesés, desjupes droites. En 1789, enfin, Necker, le déficit, le besoinpressant de réformes et déconomie amènentdans les modes une grande affectation de simpli-cité ; les chapeaux et les bonnets restent énormeset compliqués encadrant dune manière char-mante les jolies tètes (pie coi


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