Le masque ; L'enfant de l'amour . X)re embrassée. Ici. cest pas pi)«-sil)ii«... Do-hors, je ^.-rai |H>ur la pr«Muière fois. — Ji suis fière île toi! Tu es épiv-tant ! MAtRKK - Ji> te lai dit, noua som-mes des beaux. AMsr. - Kt n«tob«>n p»«!.,. MAiRtii, urei un <jftte crâne. — On i.* Elle tort. Qvand elle a <ii»para, il m dirige av»r. précipitation à la (xjrt«ler : f .Maman ! > h* CAMP I 124 LEnfant de lAmour SCÈNE V MAURICE, RAYMOND A ce moment il se retourne, cest Raymond quilui fait signe de la porte par où est sorteAline. RAYMOND, dans r entre-bâ
Le masque ; L'enfant de l'amour . X)re embrassée. Ici. cest pas pi)«-sil)ii«... Do-hors, je ^.-rai |H>ur la pr«Muière fois. — Ji suis fière île toi! Tu es épiv-tant ! MAtRKK - Ji> te lai dit, noua som-mes des beaux. AMsr. - Kt n«tob«>n p»«!.,. MAiRtii, urei un <jftte crâne. — On i.* Elle tort. Qvand elle a <ii»para, il m dirige av»r. précipitation à la (xjrt«ler : f .Maman ! > h* CAMP I 124 LEnfant de lAmour SCÈNE V MAURICE, RAYMOND A ce moment il se retourne, cest Raymond quilui fait signe de la porte par où est sorteAline. RAYMOND, dans r entre-bâillement. —Hé! Pstt! Une seconde! Je guettais la sor-tie de la Quelque chose à te très important. Empoolie! , la main sur le bouton de laporte. — Fuis Il ny a rien dimpor-tant maintenant ! RAYMOND. — Une auto vieait de sarrêterdevant k porte. On ma fait appeler dis-crètement ; cétait la petite Elle. RAYMOND. Quelque chose \ te remettre. tna remis une lettre pour sou père qui, pa-raît-il, lavait convoquée MAURICE. — Déjà ! RAYMOND. — Et comme jai ajouté quetu étais là... elle est devenue toute elle ma dit ainsi que toi: u Déjà! i> MAURICE. — Comme elle se trompe!... RAYMOND. — Dans rautx>, s-ans se pres-Ber, elle i griffonné cette autre lettre. Ellea écrit: c Urgent. » Il est peut-être in-dispensal)le pour toi que tu saches tout desuite de quoi il Avant de remettrelautre lettre au père, jai pensé... MAURICE décachette lu lettre lit tout haut. — .(( Adieu, monsieur. Monpère ma fait part de la nouvelle maisonquil allait fonder, et de îa nouvelle famille<juil nous donnait. Je ne quelle placevous comptez y prendre, mais je sais unechose, ces-t que ni de près, ni de loin, je•ne veux, moi, en faire partie. Cest ce queje viens décrire à mon père et à votremère elle-mî-me. Quant à vous, monsieur
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