. Dictionnaire de physiologie. Physiology. FiG. 102.âNerf di'presseur chez le cheval (d'après Cyon):!», pneumogastrique; a, b, les deux racines du ddpresseur; A, troisième racine du même nerf; E, ganglion cervical supérieur.: g, sympathique; C, artère carotide. saine commune et à les soumettre à l'expérimentation. La dissection a ensuite démontré nue la brandie du dépresseur soumise à l'expérience se rendait au ganglion cervical supérieur. Nous avons reproduit cette disposi- tion du dépresseur dans la figure 15 qui repré- sente la dislributiou des nerfs du cou et du cÅur chez le
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. FiG. 102.âNerf di'presseur chez le cheval (d'après Cyon):!», pneumogastrique; a, b, les deux racines du ddpresseur; A, troisième racine du même nerf; E, ganglion cervical supérieur.: g, sympathique; C, artère carotide. saine commune et à les soumettre à l'expérimentation. La dissection a ensuite démontré nue la brandie du dépresseur soumise à l'expérience se rendait au ganglion cervical supérieur. Nous avons reproduit cette disposi- tion du dépresseur dans la figure 15 qui repré- sente la dislributiou des nerfs du cou et du cÅur chez le cheval (p. 104). D'après le résultat de l'expérience, Cyon consi- dère cette branche comme correspondant à la troisième racine du dépresseur. Voici la description que Kreidm.\nn (12) adon- née du dépresseur chez le mouton : à droite il se détachait du laryngé su- périeur et, après un par- cours libre de 7 ou 8 cen- timètres, il entrait dans la gaine du pneumogas- trique; à gauche, il fallait isoler le dépresseur dans la gaine de ce dernier nerf. J'ai eu récemment l'occasion d'exciter chez un mouton le dépresseur du côté droit. J'ai trouvé qu'il était, dans son parcours libre, assez étroitement lié avec le sympa- thique, et qu'il formait avec lui un petit plexus à la hauteur du gan- glion cervical médian. Langenb.\cher (11) et K.\sem-Beck (4) ont aussi constaté la présence du dépresseur chez le porc; il est beaucoup plus développé du côté gauche que du côté droit, et il n'a que peu d'anastomoses avec le pneu- mogastrique et le sympathique. Kbeidmann (12) et (13), comme avant eux Bernh.^udt (7), ont cherché à déterminer quel nerf du cou correspondrait chez l'homme au dépresseur des ani- maux. Kbeidmann indique comme jouant ce rôle une petite branche du laryngé supérieur qui commence par deux racines et, après un pa
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