. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. GASTEROPODES OPISTHOBRANCHES 75. Fig. 31. â Nnlnrcliiin punctalus ; coupe longitudinnlo (d'après Pcl- seneer). dorsal se réduit bientôt au manteau (notcirm). Mais si la cavité palléale a disparu, il n'en est pas de même des organes palléaux qui ont subsisté pour la plupart. Seul l'osphradion n'existe plus, étant devenu inutile parsuite de la suppression de la cavité palléale. Du reste celle-ci a été remplacée en réalité par le sillon palléo- pédieux droit qui pe
. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. GASTEROPODES OPISTHOBRANCHES 75. Fig. 31. â Nnlnrcliiin punctalus ; coupe longitudinnlo (d'après Pcl- seneer). dorsal se réduit bientôt au manteau (notcirm). Mais si la cavité palléale a disparu, il n'en est pas de même des organes palléaux qui ont subsisté pour la plupart. Seul l'osphradion n'existe plus, étant devenu inutile parsuite de la suppression de la cavité palléale. Du reste celle-ci a été remplacée en réalité par le sillon palléo- pédieux droit qui peut constituer un véritable canal lorsque les bords du pied se relèvent vers le manteau (tîg. 12, A). Or en avant de ce sillon se trouve le rbinophore droit qui est en forme de cornet (lig. 2) et que leau doit traverser dans toute sa longueur avant d'ar- river à la brancbie. Le rliinopbore doit reuiplir vraisemblablement la même fonction que l'osjjbradion, car chez tous les Pleurobrancliéens l'osplii-adion a disparu, sauf toutefois chez le genre Tjilod'nia que l'on a coutume de considérer comme étant le plus priuiitif de ce groupe. Pe[.sei\eer a du reste montré (jue le développement des rhino- phores et le développement de l'osphradion chez les Opistho- branclies sont toujours en rap port indirect l'un avec l'autre. Si l'on étudie la série des Pleurobranchéens en partant du plus primitif pour remonter jus- qu'au plus différencié, on cons- tate que malgré la disparition de la cavité palléale et de la coquil le, le manteau n'en subit pas moins un développement de plus en plus considérable. Ceci n'a plus lieu de nous étonner depuis (|ue de Lacaze-Dlthiers (1859), dans son important mé- moire sur le Pleurobranche, a montré l'importance que |bue le manteau dans la Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digital
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