. Russkoe entomologicheskoe obozrenie = Revue russe d'entomologie. Fig. 18. Hydrachna goldfejdi, sp. ri. $.La palpe droite de côté. 9) Loc. cit. 10) Abh. Naturw. Ver. Bremen, XX, 1911, pp. 344—345, f. 6. U) Ark. Math, et Natv. Kristiania, XX, 1898, № 12, p. 7; XXI, 1899№ 5, p. 17, ff. 70—74. Русск. Энтом. Обозр. XVI. 1916. № 1-2. — 62 — Les palpes maxillaires (fig. 18) sont (?) plus longs (denviron1000 V-) et moins massifs que chez M. koenikei ? (700 ц). Lépais-seur des premiers segments chez H. goldfeldi est: I. 330 ц, II. 175 |л;chez H. koenikei: I. 250 |i, II. 175 \i. Voici les mesurements
. Russkoe entomologicheskoe obozrenie = Revue russe d'entomologie. Fig. 18. Hydrachna goldfejdi, sp. ri. $.La palpe droite de côté. 9) Loc. cit. 10) Abh. Naturw. Ver. Bremen, XX, 1911, pp. 344—345, f. 6. U) Ark. Math, et Natv. Kristiania, XX, 1898, № 12, p. 7; XXI, 1899№ 5, p. 17, ff. 70—74. Русск. Энтом. Обозр. XVI. 1916. № 1-2. — 62 — Les palpes maxillaires (fig. 18) sont (?) plus longs (denviron1000 V-) et moins massifs que chez M. koenikei ? (700 ц). Lépais-seur des premiers segments chez H. goldfeldi est: I. 330 ц, II. 175 |л;chez H. koenikei: I. 250 |i, II. 175 \i. Voici les mesurements des seg-ments (longueur): I. 325 м-, II. 250 ц, III. 350 ji, IV. 138 |i, V. 50 ц.Les épines et les soies sont plus ordinaires que chez H. conjecta etH. koenikei. Le côté latéral du II. segment ne porte quune épine;au contraire chez H. koenikei ily a 2 épines, chez H. conjecta4 épines. Les épimères (fig. 19) sont construits daprès le même type quechez les autres espèces de ce groupe (Limnohydrachna); le IV. épi-. г Fig. 19. Hydrachna goldfeldi, sp. n. Ç. Les épimères et lorgane génital. mère très large et avec un processus (une saillie) médian très tandis que le processus chez H. koenikei est court et extraordi-nairement large, cest chez H. goldfeldi une véritable saillie (fig. 19)et beaucoup plus mince que chez les espèces comparées. La longueurdes épimères est 1120 (à 1400) ц, la largeur maximale (des IV. épimè-res) 2550 fi. La largeur maximale dun IV. épimère seul est 960 p. (lachitine subcutanée latérale comprise), la largeur maximale dun III. épi-mère 550 |i. La longueur du processus (du IV. épimère) peut êtrejugée à 250 \j. (chez H. koenikei ? à 80 ji au maximum, chez le mâlepeut être à 150 |i). Les parties chitinisées subcutanées sont bien élar-gies, surtout derrière les processus postérieurs médians. Revue Russe dEntom. XVI. 19I6.№ 1—2. 63 - Lorgane génital (fig. 19
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