. Mémoires de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique . r/^/YY /y/>^/y(/^/^^y// /V:j ^/^///V^^ ^/// ^y/^/y// ^/// rV/yy/r ////./ Y/Y/y^/r/// >^Y//Y-> ,i H. m. RECHERCHES LE POIDS DE LHOMME AUX DIFFERENS AGES. RECHERCHES SUR LE POIDS DE LHOMME AUX DIFFERENS AGES, PRÉSENTÉES L\ SÉANCE DO 5 5I.\I ET LUES DASS LA SEANCE DC 8 .ICIN 1832, PAR A. QUETELET, iIRECTEUR DE loBSERVATOIRE DE BRUXELLES; DES ACADÉMIES ROYALES DE BRUXELLES , DE BERLIN ET DE TURIN;DE linstitut DES PAYS-BAS , ASSOCIÉ LIBRE ÉTRANGER DE LA SOCIÉTÉ STATISTIQUE DE PARIS ; DE LA SO-CIÉTÉ PH
. Mémoires de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique . r/^/YY /y/>^/y(/^/^^y// /V:j ^/^///V^^ ^/// ^y/^/y// ^/// rV/yy/r ////./ Y/Y/y^/r/// >^Y//Y-> ,i H. m. RECHERCHES LE POIDS DE LHOMME AUX DIFFERENS AGES. RECHERCHES SUR LE POIDS DE LHOMME AUX DIFFERENS AGES, PRÉSENTÉES L\ SÉANCE DO 5 5I.\I ET LUES DASS LA SEANCE DC 8 .ICIN 1832, PAR A. QUETELET, iIRECTEUR DE loBSERVATOIRE DE BRUXELLES; DES ACADÉMIES ROYALES DE BRUXELLES , DE BERLIN ET DE TURIN;DE linstitut DES PAYS-BAS , ASSOCIÉ LIBRE ÉTRANGER DE LA SOCIÉTÉ STATISTIQUE DE PARIS ; DE LA SO-CIÉTÉ PHILOMATIQUE DE LA MÊME VILLE; DELA SOCIÉTÉ ROYALE ASTRONOMIQUE DE LONDRES;Di: LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE ET dhiSTOIRE NATURELLE DE OENÈVE;DES SOCIÉTÉS DESSCIENCES NATURELLES ET MÉDICALES DE HEIDELBERG ET DE WUBZBOURG . BRUXELLES, M. HAYEZ, IMPRIMEUR DE LACADÉilIIE ROYALE. 1833. RECHERCHES SUR LE POIDS DE LHOMME AUX DIFFÉRENS AGES. I. COWSIDÉRATIOSIS GÉNÉRALES. En étudiant les diiférentes qualités physicpies et morales delhomme, mon dessein navait été dabord que de reconnaîtreleur loi de développement aux différens âges, et les modificationsquy apportent les lieux, les temps, les saisons, les sexes ettoutes les causes en général qui paraissent susceptibles de lesmodifier. Mais pour bien apprécier ces qualités et établir leurs valeursrelatives chez les différens peuples et à différentes époques, ilfallait pouvoir les mesurer, ou du moins montrer la possibilitéde le faire un jour lorsque la science aurait recueilli des obser-vations en nombre suffisant. Or, je crois avoir mis cette possi-bilité en évidence, de manière à ne plus laisser de doute à cetégard. La nécessité de faire abstraction des individus pour ne moc-Tom. VIL i 2 SUR LE POIDS DE LHOMME cuper que de ce qui
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