. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 8i0 NAIUHK ; DK I' porLonI les trois placetilas axilos sont paiiois rciiiplnci-s par aiilanl de languellcs, {l'ciiviron un (lenii-eeiilimèlie de loii|.Mieiir, de inéiiie nuance qne le périanllio, el leur expansion rapide dans l'ovaire va Jnsfju'à pro- voquer réclalcnienl des trois loges. Ces languettes, qui olfrent la structure des pétales, portent quelquel'ois sur leur rétréc
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 8i0 NAIUHK ; DK I' porLonI les trois placetilas axilos sont paiiois rciiiplnci-s par aiilanl de languellcs, {l'ciiviron un (lenii-eeiilimèlie de loii|.Mieiir, de inéiiie nuance qne le périanllio, el leur expansion rapide dans l'ovaire va Jnsfju'à pro- voquer réclalcnienl des trois loges. Ces languettes, qui olfrent la structure des pétales, portent quelquel'ois sur leur rétrécissement basilaire des ovules bien conformés. l/alimenlation plus copieuse de la placite a donc provoqué, chez ces plantes, la métamorphose régres- sive des ovides, soit en lames tout à l'ait pétaloïdes, soit sim- plement en lames ovulifères. \jv (loublciiiont cullui'ul coniplct. c'ost-à-dir»' portant sur l'andi'octM' ri le gyii«'*céo rMilici's, trappe la plante de stérilité, et il n'est plus pos- sible alors de la repi'odiiire autrement que par voie de inulliplicalion végétative, telle (jue bouturage, etc. Or'ujinc n''ccj)laculai)'e des l{eniar(|uons (jne . dans les tleurs doubles, les pétales supplémentaires ne proviennent pas toujours exclusivement de la régression des étamines ou des carpelles. La nutrition plus active de la plante cultivée est corrélative, en etïet, d'une production directe de nouveaux pétales sur le réceptacle même, entre la corolle et l'androcée, exactement comme le nombre des folioles des feuilles composées peut augmenter en pareil cas (p. 316) ; c'est ce qui a lieu par exemple dans le Rosier et dans TOEillet. Dans celte dernière plante, la fleur, pourvue seulement de dix étamines, ne peut avoir de ce cbef, en doublant, que dix pétales supplémentaires, soit quinze en tout. Or, les OEillets dou])les en offrent un nombre beaucoup plus considérable, même ([uand toutes leurs étamines ne sont pas encore pé
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