. Annuaire du Conservatoire et du jardin botaniques de Genève. Botany. (28) - 222 — Le phénomène de décrochement du sommet des cellules laté- rales fusiformes, se produit fréquemment dans diverses espèces. Il n'est poussé nulle part aussi loin que chez le D. Roylei, Dans cette espèce, les poils à flancs lisses et aigus au sommet sont même beaucoup plus rares que les autres, et le décroche- ment, au lieu d'être spécial aux cellules latérales, existe aussi au sommet. Ce sommet étant formé de deux ou trois cellules fusi- formes accouplées, le poil prend une apparence apicale nette- ment bifide ou
. Annuaire du Conservatoire et du jardin botaniques de Genève. Botany. (28) - 222 — Le phénomène de décrochement du sommet des cellules laté- rales fusiformes, se produit fréquemment dans diverses espèces. Il n'est poussé nulle part aussi loin que chez le D. Roylei, Dans cette espèce, les poils à flancs lisses et aigus au sommet sont même beaucoup plus rares que les autres, et le décroche- ment, au lieu d'être spécial aux cellules latérales, existe aussi au sommet. Ce sommet étant formé de deux ou trois cellules fusi- formes accouplées, le poil prend une apparence apicale nette- ment bifide ou trifide (fig. 9). C'est là un état extrême qui méri- tait d'être signalé.. Fig. 9. Sommet trifide d'un poil involucral plurisérié du D. Roylei. Grossissement 280/i. 3° Poils unisériés à sommet arrondi ou obtus (Etude p. 14). Cette forme de poils n'est pas représentée chez les Doronics hétéro- carpiques. 4° Poils unisériés à sommet aigu (Etude p. 14). Sous cette forme typique ou sous une variante à sommet plutôt ogivo-conique, cette forme de poils est très répandue ( riches, Thirkei, cordatum, orientale * carpelanum, macrophyllum, dolichotrichum, Ralansae, cacaliaefolium, austriacum, plantagineum, longifoUum et oblongifolium). 5° Glandes stipitées (Elude p. 14). Les glandes stipitées ne manquent sur les pièces involucrales d'aucune espèce de Doro- nics hétérocarpiques. Indépendamment des variations qu'elles présentent dans la grosseur de la tête sécrétrice et dans le degré de saillie en rosette des éléments sécréteurs eux-mêmes (remar- quables par exemple chez le D. Roylei), les différences prin- cipales portent surtout sur la longueur du pied. Les glandes. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the original Conservatoire et jardin botaniqu
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