Des occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses, tant pat raison probable, que par coniecture artificielle: exposées en deux liures, de non moindre plaisir que profit au lecteur studieux, avec deux tables, l'une des argumens des chapitres, l'autre des singulieres matieres d'iceux . oiperes, & quiiant en la maiibn que ]dchors>non par laide ôc faueur de fortune, mais ,de Dieu feuhfouoient leur defirer tout heureuxeuenemcnr, auoient aulïï ceux de ia leunelle fore ^bien difpofez de corps Se dame, & confequem- jment 11 bien inftruits, que les enfans
Des occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses, tant pat raison probable, que par coniecture artificielle: exposées en deux liures, de non moindre plaisir que profit au lecteur studieux, avec deux tables, l'une des argumens des chapitres, l'autre des singulieres matieres d'iceux . oiperes, & quiiant en la maiibn que ]dchors>non par laide ôc faueur de fortune, mais ,de Dieu feuhfouoient leur defirer tout heureuxeuenemcnr, auoient aulïï ceux de ia leunelle fore ^bien difpofez de corps Se dame, & confequem- jment 11 bien inftruits, que les enfans religieufe- ;nient honoroient & reueroiét leur pçre & mcrc,& humblement leur obc:iiroient,6c mefmes aucc ,|prieres,5cbeau langage, & par tousferuicesjra- 1choient dauoir leur benedidion, parce qu*ils a- ,uoient celle confiance, que par ce moyen ils fe- ^roicnt preferuez & garentis dçs maux qui leur îpouuoiencaduenir, &: quà laide du Dieu (ouue- iram,auqael tant eux que leurs pères, adreiToienç \leurs vœus,ils pourroient en toute aiTcurance loy ;maintenir contre tous dangereux accidens 6: in- jcommoditezdeccraonde. i râitr/fuoy félon le dîB commun qmfi nidpr mdddic on. \ loinnAin ^foyi^ge ne dénient f<is meilleur CT \ n amendef^yied\uxntage, ; Ç^ XXIX. < X iii) \. DES MERVIIL. L yacn Flandres vne certaine api-^^ mon de tout teraps enracincc,par la-* quelle ils ont accouftumé de repro-cher à ceux quils voient en conuale-fccnce de maladie, ceft à Içauoir quenul par quelque longue 6c dangereuse maladiequilâitcuë,ny par aucun voyage loingcain na-mende qui eft certain aduenir ainfi bié la nature des hommes eft telle, quepar quelques gncfues maladies que elle ait eftéafHigce, par quelque dangercufe pérégrinationquelle ait efté tourmentée par mer & par terre, iltoft quelle Ten voit dehors, elle oublie tout cela,& continuent les hommes à viure plos defordô-nément : en que leur vie cnluyuante eft/Ml, pii-g
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