Oeuvres de Nicolas Boileau Despréaux; avec des éclaircissemens historiques . 27. Ktquidjuâm tsen9 (ttfitm wvtlUrc fUotâm^ E P I T R E Iir, 31$ Jarrache un pié timide, & fors en magitait,Que lautre my reporte , Se sembourbe à linftant:Car fi,comme aujourdhui,quelque raïon dcièloAllume dans mon cœur une clarté nouvelle,95 Soudain aux yeux dautrui sil faut la confirmera;Dun gclle, dun regard je me Cens alarmer;Et même fur ces Vers que je te viens décrire;Je tremble en ce moment de ce que Ton va dire) V t n s 92. ^t r autre my reparte , & s*tmhoitrbt k rinJlê avoir ainû exprime fa penfc
Oeuvres de Nicolas Boileau Despréaux; avec des éclaircissemens historiques . 27. Ktquidjuâm tsen9 (ttfitm wvtlUrc fUotâm^ E P I T R E Iir, 31$ Jarrache un pié timide, & fors en magitait,Que lautre my reporte , Se sembourbe à linftant:Car fi,comme aujourdhui,quelque raïon dcièloAllume dans mon cœur une clarté nouvelle,95 Soudain aux yeux dautrui sil faut la confirmera;Dun gclle, dun regard je me Cens alarmer;Et même fur ces Vers que je te viens décrire;Je tremble en ce moment de ce que Ton va dire) V t n s 92. ^t r autre my reparte , & s*tmhoitrbt k rinJlê avoir ainû exprime fa penfcc : ^ peine dft lim^n 9Ît le Vice m*engage ^ y*arracbe mn pié timide, J $l$te r autre m^y tiptrte, CT s^mltnrbe à finjlattt» La difficulté ctoit dachever le fécond vers. Il confultftMr. Racine, qui trouva la choie très-difficile. Cepea-dant Mr. Dcspréaux lui dit le lendemain la fin du vers:ir fors en 7n*ag^ita>.t. Cette fin eft dautantpusbelle,qucl-U fait une image qui neu pas dans le vers dHoiacç; Nequiiqnam («eno (Hpiens tvelUre flMtAm^. Pé EPITRl E p r T R E iv: AU ROI. EN vain, pour Te louer, ma Mule toujours prête^,Vingt fois de la Hollande a tenté la conquête :Ce pais, où cent murs nont pu Te rcfiller,G R AND Roi, n*eft pas en Vers fi facile à dompter. Des JJEs nnarqucs de bonté & de diftïnftion qne le Roi don-na à Mr. Dcsprsaux, la premièic fois quil eut lhon-«eur de paroître devant Sa Majefté, •* lui avoient infpiié«ne vive rcconnoiffance. Les conquêtes de ce Grand KO»fournir nt bien tôt au Poëte une occafion de fignaler fonaèle. En 1672. Sa Majefté fit en Peifonne la Campagne deHollande , lune des plus glorieufes de ion règac. Danscette Campagne , qui ne dura quenviron deux mois, leRoi conquit trois Provinces, & prit plus de quarante Vil-les : fon Armée palTa îe Rhin à la vûë de» Ennemis quigardoi-nt le rivage oppofé j Amfterdam, cette riche &fu-pcrbe v lie, fut fui le point de fe foumettre à la domina-tion du
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