. Oeuvres de Rousseau. voilà fagocés , hé hé hé hé, LE CAPITAN. Ceft une fourberie ... Mad. MERLUCHE. Qui efl-ce qui vous a ajuit^^s comme cela? Ahah ah ha. TRUFALDIN. Je vous dis que .., Kk il] 35)0 La Ceinture MAGIQUE^ MERLUCHE»On va fe moquer de vous. LE ; ce coquin .. • Mad. nêtes pas raifonnable. T R U F A L D I veux vous dire ... Mad. MERLUCHE,Un homme férieux comme vous ! LE fcaurez ... Mad. perfonne de votre profeffion ! TRUFALDIN. Pefle foie de la babrllarde ? Je vous dis que ceitce pendaid que vous nous avez envoyé , qui
. Oeuvres de Rousseau. voilà fagocés , hé hé hé hé, LE CAPITAN. Ceft une fourberie ... Mad. MERLUCHE. Qui efl-ce qui vous a ajuit^^s comme cela? Ahah ah ha. TRUFALDIN. Je vous dis que .., Kk il] 35)0 La Ceinture MAGIQUE^ MERLUCHE»On va fe moquer de vous. LE ; ce coquin .. • Mad. nêtes pas raifonnable. T R U F A L D I veux vous dire ... Mad. MERLUCHE,Un homme férieux comme vous ! LE fcaurez ... Mad. perfonne de votre profeffion ! TRUFALDIN. Pefle foie de la babrllarde ? Je vous dis que ceitce pendaid que vous nous avez envoyé , qui nous amis en cet Ptat : & pendant ce temps-là 0€lave^Horace ont emmené vos nièces. Mad. ôc Horace ont emmené mes nièces J T .R U I A L B •! ï : Comédie, 35)1 Mad. MERLUCHE, Si cela efl, ceft un ligne évident quelles ne vouaaiment point. LE C A F I T A N. Débarraiïez-moi de cette ferraille, & je les attra-perai , fufTent-ils au fond des abîmes de lOcé |9i LACEÎNTUREMAGtQUË^ SCENE XIII. TRUFALDIN, LE CAPITAN,Mad. MERLUCHE, OCTAVE,HORACE. \= O u s nirez pas Ci loin , meifieurs. Nousvoici. Mad. MERLUCHE à Trufaldln & au Capltan. Mes enfans , il faur avaler cela cour vous ai propofé tantôc deux partis fortabLspourmes nièces. Vous avez voulu vous approprier leursperfonncs & Lur bien. Cc;la ne vous a pas réiulî.nies font chez moi. Jai fîgiié leur contrat. Levoilà. Et a vous voulez être dccadcnafTés, il fautque vous preniez la peine de le fîgner aufli. , figaer le contrat ? LE mieux ne porter jamais cpcct Comédie. jpj OCTAVE. Seigneur Capitan, je veux bien commencer patvous mettre en liberté ; mnis quand vous y ferez ,foyez pcrfuadé que je vous donnerai les écrivieresjufquà ce que vous ayez figné. L E C A P I T A N. Donnez. Je fîgnerai à votre coniîdération. TRTJFALDIN. ruîfque la chofe eft faite , il faut bien sy ré-foudre. OCTAVE. Vous pouvez all
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