L'illustration : journal universel . de lennemi et rétabli lasécurité. La population française saugmenteincessamment;la colonisation se développe et saffermit; lescultures séten-dent chaque jour; le nom françaisestcraint et respecté parle peuple indigène. Des services si grands ne sauraient êtreméconnus. Les habitants de la colonie veulent, par unesouscription, donnera ce glorieux chef la seule récompensequil soit en leur pouvoir de lui décerner ; une épée dhon-neur perpétuera dans sa famille le souvenir des sentimentsde reconnaissance qui lui sont dus. » Lexpédition du Maroc et la victoiredIs
L'illustration : journal universel . de lennemi et rétabli lasécurité. La population française saugmenteincessamment;la colonisation se développe et saffermit; lescultures séten-dent chaque jour; le nom françaisestcraint et respecté parle peuple indigène. Des services si grands ne sauraient êtreméconnus. Les habitants de la colonie veulent, par unesouscription, donnera ce glorieux chef la seule récompensequil soit en leur pouvoir de lui décerner ; une épée dhon-neur perpétuera dans sa famille le souvenir des sentimentsde reconnaissance qui lui sont dus. » Lexpédition du Maroc et la victoiredIsly, remportée le14 août 1844 , en consolidant de plus en plus notre con-quête, ont depuis ajouté de nouveaux titres à ceux quiavaient provoqué cetle honorable manifestation. Une ordonnance royale, rendue à Saint-Cloud le 13 no-vembre 1844, a autorisé la société agricole de lAlgérie,sur la demande quelle en a formée au nom de la populationcivile de la colonie, à offrir, par souscription volontaire, une. ( Sculptures décorant la garde dune épée votée en 1791 au général La Fayette par la garde nationale de Paris. ) épée dhonneur à M. le maréchal duc dIslv, et le maré-chal à accepter ce témoignage mérité de lestime et de lareconnaissance publiques. » En effet, aux termes dune ordonnance du Ï0 juillet 1816aujourdhui encore en vigueur, et rappelée en tête de celledu 13 novembre 1844, aucun don, aucun hommage, aucunerécompense ne peuvent être volé ou décernéscommetémoignages de la reconnaissance publique, par les conseilsgénéraux, conseils municipaux, gardes nationales ou toutautre corps civil ou militaire, sans lautorisation préalabledu roi. i Le droit de décerner des récompenses publiquesporte le préambule de lordonnance du roi I ouisXVIII, estun des droits inhérents à notre couronne. Dans la monar-chie, toutes les grâces doivent émaner du souverain : etcest à nous seul quil appartient dapprécier les servic
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