. Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique. Zoology; Mollusks. 168 ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ROYALE Localité : Plusieurs exemplaires, mâles et femelles, furent obser- vés en octobre et en décembre dans la terre d'une prairie sablon- neuse, près de Flessingue. 10. — Dorylaimus coronatus, nov. sp. 7. = 50-55, (3 =? 3 72-4, 9 millimètres, cf inconnu T = 100. Cette nouvelle espèce très intéressante appartient au groupe de celles chez lesquelles le tube génital de la femelle est simple, non biparti, mais elle se distingue du Dor. monolujstera de M., du Dor. Umnophilus de
. Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique. Zoology; Mollusks. 168 ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ROYALE Localité : Plusieurs exemplaires, mâles et femelles, furent obser- vés en octobre et en décembre dans la terre d'une prairie sablon- neuse, près de Flessingue. 10. — Dorylaimus coronatus, nov. sp. 7. = 50-55, (3 =? 3 72-4, 9 millimètres, cf inconnu T = 100. Cette nouvelle espèce très intéressante appartient au groupe de celles chez lesquelles le tube génital de la femelle est simple, non biparti, mais elle se distingue du Dor. monolujstera de M., du Dor. Umnophilus de M., et du Dor. oxyèephalus de M., par .sapins grande taille. Le corps est grêle, fili- forme et s'atténue fortement et régulièrement vers l'extrémité antérieure, justement comme chez le Dor. oxycephalus de M., des environs de Weimar : en effet, la largeur de la tête à la base de la région labiale n'est qu'un sixième ou un septième de la largeur du corps au com- mencement de l'intestin. La cuticule est annelée d'une façon extraordinairement fine, les anneaux étaient le plus visibles sur la tête (fig. 14), immédiatement en arrière de la région labiale ; j'observai ces fines stries transversales aussi sur la queue (fig. 17) et elles sont sans doute présentes sur le corps entier. M. Cobb a été le premier à découvrir en 1888 les anneaux cuticulaires des Dorylaimes, les ayant alors observés chez le Dor. papillatus Bast., et. Fig. 14. — Tète X 2700. dans les exemplaires observés dans la prairie sablonneuse de Zwanenburg, les parois avaient une épaisseur ordinaire. Chez une femelle du Dor. intermedhis, longue de millimètre et dont l'utérus contenait un œuf, les tubes génitaux s'étendaient plus loin qu'il n'a été indiqué dans ma Monographie : la partie antérieure, en effet, était un peu plus longue que l'œsophage et atteignait presque son extrémité postérieure, tandis que la partie postvaginale s'étendait presque jusqu'a
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