. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s . Abricotier. ALB 39 lors du développement et passant ensuite au blanc pur ; leur calice est grand et rouge clair. Fertilité. â Plutôt modérée qu'ordinaire. Culture. â Sa grande vigueur le recommande pour le plein-vent. L'espalier ne lui convient pas beaucoup, car il en atténue encore la médiocre fertilité. Description du fruit. â Grosseur : assez volumineuse. â Forme : irrégu- lièrement ovoïde, aplatie dans le sens longit
. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s . Abricotier. ALB 39 lors du développement et passant ensuite au blanc pur ; leur calice est grand et rouge clair. Fertilité. â Plutôt modérée qu'ordinaire. Culture. â Sa grande vigueur le recommande pour le plein-vent. L'espalier ne lui convient pas beaucoup, car il en atténue encore la médiocre fertilité. Description du fruit. â Grosseur : assez volumineuse. â Forme : irrégu- lièrement ovoïde, aplatie dans le sens longitudinal, surtout vers le sommet; sillon bien marqué, mais étroit, principalement à Abricot Alberge de Montgamé. son départ. â Cavité caudale : de largeur et profondeur moyennes. â Point pistitlaire : très-apparent et placé au centre d'une notable dépression. â Peau : épaisse, duveteuse, jaune foncé à l'insolation, jaune verdâtre à l'ombre.â Chair: très-fine, jaune-orange, tendre ou mi-fondante. â Eau : suffisante et plus ou moins sucrée, savoureusement acidulée et parfumée. â Noyau : gros, légè- rement ovoïde, bombé, ayant l'arête dorsale tranchante et prononcée. â Amande : com- plètement douce. Maturité. â Commencement de juillet. Qualité. â Première. Historique. â C'est du village de Montgamé, près Châtellerault (Vienne), que sortit, vers 1765, l'excellent abricot qui nous occupe. Longtemps confiné dans la Touraine et l'Anjou, il fut lent à pénétrer chez les arboriculteurs des alentours de Paris. Duhamel, en 1768, ne le possédant pas, voulut au moins le mentionner : « Le plus estimé de tous les Albergiers, dit-il, est le Mongamet. On prétend qu'il ne réussit bien que dans ce village et dans les environs de Tours, où les Albergiers sont très- communs. » (T. II, p. 143.) La Bretonnerie, seize ans plus tard, citait é
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