Traité d'anatomie humaine . n à cet égard a (té adoptic par Kolliker et parScHULTZE, ces éléments cellulaires représentent ici les fibres et noyaux de soutiende la rétine réduits à leur plus simple expression. Il nous parait plus exact de lesconsidérer comme des cellules embryonnaires du feuillet interne de la vésiculeoculaire secondaire, qui nont pas évolué et sont restées indifférentes. C . â P U H T 1 U .\ 1 K 1 E .\ .\ li D li LA K lî T 1 .\ E . â . Au niveau de liris, la tunique nerveuse de lÅil (pars iridica retinÅ) est repré-sentée par la couche épithéliale postérieu


Traité d'anatomie humaine . n à cet égard a (té adoptic par Kolliker et parScHULTZE, ces éléments cellulaires représentent ici les fibres et noyaux de soutiende la rétine réduits à leur plus simple expression. Il nous parait plus exact de lesconsidérer comme des cellules embryonnaires du feuillet interne de la vésiculeoculaire secondaire, qui nont pas évolué et sont restées indifférentes. C . â P U H T 1 U .\ 1 K 1 E .\ .\ li D li LA K lî T 1 .\ E . â . Au niveau de liris, la tunique nerveuse de lÅil (pars iridica retinÅ) est repré-sentée par la couche épithéliale postérieure de cette membrane (p. 4:20), que londésigne ordinairement sous le nom (ïiwée. Cette couche, qui est la continuation de la [)ortion ciliaire de la i(tine, se coui-pose encore ici de deux assises de cellules. Mais ces cellules sont tellement cliargéesde pigment que leur contour et même leurs noyaux sont complètement masqués,de telle sorte que,la couche tout entière se présente, sur les coupes, sous la forme. 446 ORGANES DES SENS dun liséré noir partout continu (fig. i283/M). La double couche de cellules nestpourtant pas douteuse et se voit manifestement, comme lont établi les recherchesde ScHWALBE et de BoÃ, sur les iris des animaux albinos, le lapin par exemple(fig. 307,3). La couche^ntérieiire fait suite au pigment rétinien et répond au feuillet externede la vésicule oculaire secondaire. Les cellules qui la constituent reposent directe-ment sur la membrane basale postérieure de liris. Leurs noyaux sont allongésdans le sens radiaire et ce sont eux, rappelons-le en passant, qui ont été pris pour des noyaux de fibres musculaires par lespartisans du muscle dilatateur de la pupille ( -4i8 et fig. !284). La couche postérieure correspond au feuillet interne de la vésicule oculaire secondaire et fait suite aux cellules cylindriques de la portion ci- 1 â â ^^â jri


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