. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. BEU [rettrré stu] 4,31 moyennes, vert foncé, ovales-lancéolées, acinninées, planes ou contonrnées, et souvent relevées en gouttière, faiblement dentées, portées sur un pétiole court et frêle. T>« â ij - j ox XX ,x Fertilité. â Grande. Poire Beurre de Stuttgardt. Culture. â Le franc lui convient mieux que le cognassier, sa vigueur étant médiocre; il fait d'assez jolies pyramides et ne se développe b
. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. BEU [rettrré stu] 4,31 moyennes, vert foncé, ovales-lancéolées, acinninées, planes ou contonrnées, et souvent relevées en gouttière, faiblement dentées, portées sur un pétiole court et frêle. T>« â ij - j ox XX ,x Fertilité. â Grande. Poire Beurre de Stuttgardt. Culture. â Le franc lui convient mieux que le cognassier, sa vigueur étant médiocre; il fait d'assez jolies pyramides et ne se développe bien qu'à partir de sa deuxième année. Description du fruit. â Grosseur : moyenne. â Forme : ovoïde-allongée, régulière, habi- tuellement déprimée d'un côté, près de l'Åil. â Pédoncule : court, bien nourri, recourbé, renflé à l'attache, inséré au centre d'une petite dépres- sion rarement accidentée sur ses bords. â Åil : large, arrondi, ouvert, placé dans un bassin en entonnoir de profondeur assez variable. â Peau : jaune d'ocre, semée de points gris-roux et de quelques taches brunâtres, et géné- ralement colorée de rose pâle sur la partie qui regarde le soleil. â Chair : blanc jaunâtre, fine ou demi-fine, très-fondante, peu gra- nuleuse. â Eau : abondante, vi- neuse et des plus sucrées, possé- dant une saveur particulière d'une extrême délicatesse. Maturité. â Du commencement de septembre jusqu'à la moitié de ce mois. Qualité. â Première. Historique. â Ce Beurré était obtenu de semis à Stuttgardt, en 1863 ; ce sont les Belges qui l'ont fait connaître en France, au commencement de 1864, en insé- rant dans un de leurs recueils périodiques, les lignes suivantes : « Beurré de Stdïtgardt. â Ce nouveau fruit paraît être de qualité exquise; il nous est vivement recommandé par M. Schic
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