Svenska vetenskapsakademien handlingar . rment un groupe ä elles, le disquecentral étant presque invariablement supprimé. Cest 1allongement du calice observablechez certains Echinonéides et encore plus distinctement chez les Ananchytides, pousséä 1excés, jusquau démembrement. Quelle que soit la disposition des organes internesqui exige cette modification insolite du squelette, il est evident que le systéme périso-somatique y est pour beaucoup. Les aires interradiales 1 et 4, au lien daller en serétrécissant vers le sommet, maintiennent å pen prés leur plus grande largeur jusquäla ligne médiane
Svenska vetenskapsakademien handlingar . rment un groupe ä elles, le disquecentral étant presque invariablement supprimé. Cest 1allongement du calice observablechez certains Echinonéides et encore plus distinctement chez les Ananchytides, pousséä 1excés, jusquau démembrement. Quelle que soit la disposition des organes internesqui exige cette modification insolite du squelette, il est evident que le systéme périso-somatique y est pour beaucoup. Les aires interradiales 1 et 4, au lien daller en serétrécissant vers le sommet, maintiennent å pen prés leur plus grande largeur jusquäla ligne médiane du dos, en remplissant ainsi 1intervalle laissé entré les deux portionsséparées du calice, et sy soudent 1une ä 1autre au moyen de leurs plaques les der-niéres formées. Cest une coinbinaison parfaitement étrangére au type échinoide, etdont on est amené ä chercher ailleurs 1analogue. Or, si par la pensée Ton fait se pro-duire cet état élargi des plaques non pas dans les aires 1 et 4 seules, mais uniformé-. Transformation imaginaire dun Collyrites. ment et simultanément dans toutes les cinq aires du périsome, de maniére ä écarter égale-ment les cinq radiales jointes aux cinq ambulacres, et a isoler les cinq costales, en enrestituant 1impaire. ainsi que le disque central au milieu; et si 1on fait en méme tempssaillir légérement les ambulacres, on aura le semblant dune Etoile de mer. Cest läun mode de développement purement imaginaire par rapport au Collyrites; il est réelchez les Astériadées. ) Pl. XI, % 58. Pl. XXIII, tig. 180. 86 S. LOVEN, ÉTUDES SUR LES ÉCHINOlDÉES. Dans un Asterias glacialis L. trés-jeune1), de 1,3 mm. de diamétre, venantde terminer son développernent larval, a bouche ouverte, mais sans indice douver-ture anale, le squelette se compose presque exclusivement de deux systémes, 1ambulacralet le dorso-central. Des cinq ambulacres, chacun ne coinpte encore que trois pairesdéléments en forme dosselets transvers
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