. La Henriade : divers autres poemes, et toutes les piéces relatives à l'épopée. aucun phi-lofophç na pu jamais expliquer Vorigine du mal moral>& du mal phyfique : il avoue que Bayle , le plus granddialeclicien qui ait jamais écrit, na fait qu1 apprendreà douter, & quil fe combat lui-même : il avoue quily a autant de faiblejfes dans les lumières de lhommeque de misère dans fa vie. Il expofe tous les fyjlêmesen peu de mots. Il dit que la révélation feule peutdénouer ce grand nÅud que tous Us philofophes ontembrouillé ; // dit que Vefpérance dun développementde notre être dans
. La Henriade : divers autres poemes, et toutes les piéces relatives à l'épopée. aucun phi-lofophç na pu jamais expliquer Vorigine du mal moral>& du mal phyfique : il avoue que Bayle , le plus granddialeclicien qui ait jamais écrit, na fait qu1 apprendreà douter, & quil fe combat lui-même : il avoue quily a autant de faiblejfes dans les lumières de lhommeque de misère dans fa vie. Il expofe tous les fyjlêmesen peu de mots. Il dit que la révélation feule peutdénouer ce grand nÅud que tous Us philofophes ontembrouillé ; // dit que Vefpérance dun développementde notre être dans un nouvel ordre de chofes , peutfeule confoler des malheurs préfens , & que la bontéde la providence efllefeul afyle auquel lhomme puifferecourir dans les ténèbres de fa raifon, & dans les cala-mités de fa nature faible & mortelle, P. S* Il efl toujours malheureufement nêceffaire da-vertir quil faut diftinguer les objeâions que fe fait unauteur, de fes réponfes aux objeâions, & ne pas prendreCe quil réfute pour ce quil adopte. «ta ^=^4ôtffe. in-.:*:.*,1 *>Wi %e* Ufe. ££&%&£&% .,.A*./ :a^^ 4 ( 379 ) §*â¢NOTE PARTI CU Ll ERE SUR CE PASSAGE DE CETTE PRÃFACE : Lorfque Villuftre Pope donna fin Efiai fur lhomme,& quil développa dans fes vers immortels les fyfir-mes du Lord Shaftersburi & du Lord Boling-broke , &c. Page 390, ligne 18. CEft peut-être la premièrefois quon a dit que le fyf-tême de Pope était celui dulord Shaftersburi ; ceft pourtantune vérité inconteftable. Toutela partie phyfique eft prefquemot-à -mot dans la premièrepartie du chapitre intitulé , LesMoraliftes fe&ion 3. Muchis Allegd in Ansnver toShow &c. On a beaucoup à ré-pondre à ces plaintes des défautsdelà nature. Comment eft-ellefort le fi impulsante & fi défec-taeufe des mains dun être par-fait ? Mais je nie quelle foitdéfeHueufe» . . Sa beauté re-faite des contrariétÃ
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