. Life and death : being an authentic account of the deaths of one hundred celebrated men and women, with their portraits . tous les crimes quon mimpute!Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vousallez repandre ne retombe jamais sur la France! II allait continuer; unfremissement parcourait la foule. Le chef detat major des troupes ordonnaaux tambours de battre. Un roulement immense et prolonge couvrit la voixdu roi et le murmure de la multitude. Le roi revint de lui-meme a pas lentsvers la guillotine et se livra aux executeurs. Au moment ou on Iattachait ala planch


. Life and death : being an authentic account of the deaths of one hundred celebrated men and women, with their portraits . tous les crimes quon mimpute!Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vousallez repandre ne retombe jamais sur la France! II allait continuer; unfremissement parcourait la foule. Le chef detat major des troupes ordonnaaux tambours de battre. Un roulement immense et prolonge couvrit la voixdu roi et le murmure de la multitude. Le roi revint de lui-meme a pas lentsvers la guillotine et se livra aux executeurs. Au moment ou on Iattachait ala planche, il jeta encore un regard sur le pretre qui priait a genoux au bordde Iechafaud. La planche chavira, la hache glissa, la tete tomba. Un desexecuteurs, prenant la tete par les cheveux, la montra au peuple et aspergeade sang les bords de Iechafaud. Des federes et des republicains fanatiquesmonterent sur les planches; tremperent les pointes de leurs sabres et leslances de leurs piques dans le sang, et les brandirent vers le ciel en poussantle cri de Vive la Republique! Authority: LHistoire des Girondins, by .MAkAT. No. 64 The Death of Jean Paul Marat. Born in Switzerland24th May 1743. Died 15th July 1793. MARAT lived on the first floor of an old house in the Rue desCordeliers, Paris. The accommodation comprised an ante-room, asmall study, a bedroom and a bath-room, with one receptionroom. The rooms were very bare and scantily furnished. In the study,books, printers proof-sheets, and masses of papers littered the tables andchairs, spreading out even over the floor. The dirty staircase and ill-sweptrooms testified to the constant coming and going of visitors, which hisbusiness as a journalist and politician involved. The squalid carelessness ofthe whole place seemed even boastful, as if the owner would say: * Here isthe home of the Peoples Friend; here is no aristocratic luxury; all is thesimplicity of the true republican. Indeed, the establishment of Marat wasbut what


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