. comptesrendusheb1311900acad. es naturelles. ( «8i ) à 01, la susceptibilité initiale (considérée comme la valeur de ^ j ayant ainsi une valeur très considérable; l'intensité d'aimantation obtenue en effectuant le dépôt verticalement dans le champ terrestre est déjà très notable; lorsqu'on cherche à compenser la composante verticale par le passage d'un courant convenable dans la bobine où se font les dépôts, on réduit cette aimantation, mais, comme il est difficile de réaliser la com- pensation rigoureuse, elle garde une certaine valeur; c'est pourquoi la courbe A, corresponda


. comptesrendusheb1311900acad. es naturelles. ( «8i ) à 01, la susceptibilité initiale (considérée comme la valeur de ^ j ayant ainsi une valeur très considérable; l'intensité d'aimantation obtenue en effectuant le dépôt verticalement dans le champ terrestre est déjà très notable; lorsqu'on cherche à compenser la composante verticale par le passage d'un courant convenable dans la bobine où se font les dépôts, on réduit cette aimantation, mais, comme il est difficile de réaliser la com- pensation rigoureuse, elle garde une certaine valeur; c'est pourquoi la courbe A, correspondant à un dépôt ainsi obtenu, ne part pas de zé » La courbe B montre que c'est seulement pour un champ d'environ lo gauss que la croissance de l'intensité d'aimantation se ralentit; ainsi, bien que les aimants particulaires qu'on suppose dans la théorie du Magné- tisme soient ici soumis dès leur formation à l'action du champ, ils ne se placent dans le dépôt de manière à réaliser à peu près la saturation que pour des champs assez élevés. Mais les positions qu'ils prennent se rap- prochent cependant beaucoup plus vite de celles qui correspoudent à la saturation que celles prises, dans un dépôt primitivement peu aimanté, sous l'action d'un champ croissant. » On remarquera que la courbe B ne présente pas de point d'inflexion, à l'inverse de la courbe ordinaire. On doit considérer cette courbe comme donnant pour chaque champ l'aimantation la plus grande possible pour le fer électrolytique obtenu ; sa comparaison avec la courbe A montre l'in- fluence des liaisons moléculaires et magnétiques qui s'opposent à l'action du champ lorsqu'on construit la courbe d'aimantation ordinaire. ». Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfec


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