Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . m cl caepe notas violare et frangere sanctas gentes, quilms liu;c nascuntur in hortisNumina ! (JUVÉNAL, XV, 0-11.) 2. Clément dAlexandrie, rite par Maspero, Histoire ancienne, p. 46. 3. quavait deviné, malgré linsuffisance dos renseignements dont il disposait,un savant dun esprit hardi et curieux, le président do Brosses, qui a ou lhonneur din-troduire dans la langue ce terme de fétichisme, comme le nom dun état défini do la con-ception religieuse. On lira encore avec intérêt le liv
Histoire de l'art dans l'antiquité: Égypte, Assyrie, Perse, Asie Mineure, Grece, Etrurie, Rome . m cl caepe notas violare et frangere sanctas gentes, quilms liu;c nascuntur in hortisNumina ! (JUVÉNAL, XV, 0-11.) 2. Clément dAlexandrie, rite par Maspero, Histoire ancienne, p. 46. 3. quavait deviné, malgré linsuffisance dos renseignements dont il disposait,un savant dun esprit hardi et curieux, le président do Brosses, qui a ou lhonneur din-troduire dans la langue ce terme de fétichisme, comme le nom dun état défini do la con-ception religieuse. On lira encore avec intérêt le livre quil publia on 1760, >aus nomdauteur, sous ce litre : Dm culte des dieux fétiches, ou Parallèle de lancienne religion deVJtgypte <n:c<- lu religion actuelle de Nigritie (in-12). Létude des éléments fétichistes de lareligion égyptienne a été reprise, dans ces derniers temps, avec compétence et talent, parun égyptologue allemand, M. H. Pietsehmann, dans un travail que la Zeitschrift far Ethno- 58 LEGYPTE. pour rendre raison du partivoulu figurer les dieux. Dans. 38. — Bas-relief peint. de Bourgoin, tinguent les unes des autres toutes ce que larl égyptien a pris, quand il ala plupart des types quil a créés, il amêlé les membres de lhommeet ceux de la bête. Tanlùt cestune tête danimal qui surmonteun corps dhomme ou de femme;tantôt, quoique plus rarement,on a larrangemenl contraire;cest ce qui arrive notammentpour le sphinx et pour cet oiseauà tête humaine qui ligure lâmedu mort1. Voici comment on ex-plique dordinaire le principe ellesprit de ces sagit de traduire poul-ies yeux les idées que lon setaisait des puissances divines,on adopta, comme fonds com-mun de toutes ces personnifica-tions, celle des tonnes vivantesqui a le caractère le plus noble,la forme humaine; mais il fallaitmarquer les différences qui dis-personnes imaginaires; il fallait logie, qui se publie à Berlin sous la direction de
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