Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . Il ne faut pas nous revoir. Il clama : — Pourquoi ? — Pourquoi? Allons, vous savez bience qui arriverait si nous nous moi aussi. Nous antres, nous navonsquà regarder autour de nous, pour voircomment ça se passe. Bien sûr, ça flattedavoir un ami qui nous gâte, qui vousaide qui vous promène, qui vous ca-resse. Seulement, ça finit toujours larmes, lenfant, le lâ Alors,on recommence et on dégringole com-me ça jusquà la rue. Eh bien! moi,je ne veux pas mal tourner. Voilà. Jesuis faite comme ça. Oh! je ne suispas une sainte. Et je ne
Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . Il ne faut pas nous revoir. Il clama : — Pourquoi ? — Pourquoi? Allons, vous savez bience qui arriverait si nous nous moi aussi. Nous antres, nous navonsquà regarder autour de nous, pour voircomment ça se passe. Bien sûr, ça flattedavoir un ami qui nous gâte, qui vousaide qui vous promène, qui vous ca-resse. Seulement, ça finit toujours larmes, lenfant, le lâ Alors,on recommence et on dégringole com-me ça jusquà la rue. Eh bien! moi,je ne veux pas mal tourner. Voilà. Jesuis faite comme ça. Oh! je ne suispas une sainte. Et je ne suis pas nonplus si sèche que jen ai lair. Moiaussi, jaimerais être choyée, câlinée,tout comme les autres. Mais il marrive-rait ce qui arrive aux autres. Et jaitellement peur de la suite que ça meretient de commencer. Voilà pourquoi jereste sage. Vous voyez, je nai pas demérite. Voilà aussi pourquoi je me dé-fends contre Elle ajouta dune voix moins assurée: — ...Et contre moi, si vous IL LA SUPPLIA, ÉGARÉ. M l/,7 /</. ///. \l 1/ v Qui il- ioni< • édanl .m h. i refu 11 g( mu ( »li I i \..h maimiez un peu, » I .1 lMll « < i I- ll< i : — Si voua maimiei un peu, i< lui., poui j».im^« i le i <«u|i trop iude,die continua plus dou< em ml : Allons, \ faites pas i • figure là. ( i l un moment .< paCro)<?/ vous que m pour moi : Mettez vous à ma pla< e. Jai dûquitter mon père, Maman est \<•. belle mère, Lexistence était im-ible. Je nai plus que i ette pau\ retante qui vil surtout a\Je remontre quelquun qui est bon,qui est aimable, qui sintéresse à moi, qui mest supérieur eu tout, qui ni- fait voir avec quatre mots des tas de choses quejignorais. Et je dois le repter toute seule. De nous deux, êtes-vousle plus à plaindre? Certainement, jau-rais du plaisir à être votre amie. Vousvoyez que je suis franche. Mais il nefaut pas, il ne faut pas! Sa voix sam
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