. Les Français peints par eux-mêmes . — « Ah ! en voici un qui c.^t bien embarrassé; il pé-chait à la ligne au bord de leau, et il avait relire sesjambes de bois qui sen vont sur la rivière comme dejolis petits bateaux. Heureusement voici un camaradequi vient de laver son mouchoir à tabac sans en et qui rattrape les jambes de sou ami avec sa canne,dautant plus aisément quil sétait établi blanchisseuseilans une vieille toue à é — « Par où donc que vont ceux-là, avec leurs man-chettes décrivains pour pas se salir?....comme y sont en bon ordre ! Ah ! y vont tirer
. Les Français peints par eux-mêmes . — « Ah ! en voici un qui c.^t bien embarrassé; il pé-chait à la ligne au bord de leau, et il avait relire sesjambes de bois qui sen vont sur la rivière comme dejolis petits bateaux. Heureusement voici un camaradequi vient de laver son mouchoir à tabac sans en et qui rattrape les jambes de sou ami avec sa canne,dautant plus aisément quil sétait établi blanchisseuseilans une vieille toue à é — « Par où donc que vont ceux-là, avec leurs man-chettes décrivains pour pas se salir?....comme y sont en bon ordre ! Ah ! y vont tirer les beauxcanons qui sont dessus les bords des fossés de lIlô fê fête militaire. Si vous saviez comme y sontjoyeux dentendre les bruits de cette canonnade ! On voitsur leur phvsionomie les souvenirs belliqueux des trem-hlemeuls de Derrière \os caJonniers, il y adautres invalides qui font tout plein de ronds sur le sa-ble avec leur — (I On a Uni de tirer le On fait la flue par-tie de boules et de quilles. Ah! mon Dieu, de Dieu !
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