Œuvres illustrées de George Sand . nous navons puempêcher aujourdhui. Quil garde nos fonds et quil lesfasse valoir. Nous avons été trompés par de faux rensei-gnements, laffaire est meilleure que jamais. Il faudraitêtre lâche pour renoncer à lavenir que lhabileté, la pro-bité et limmense solvabilité de M. Bourset ouvrent devantnous. LE DCC DE LA Cest mon avis. LE MARQUIS DE Et le mien. PLUSIEURS VOIX. Eh oui, cest le nôtre à tous. BOURSET. Je vous remercie. Messieurs, de cette preuve des-time ; et quelque pénible, quelque dangereuse que soitla lâche que vous mimposez, je saurai men re


Œuvres illustrées de George Sand . nous navons puempêcher aujourdhui. Quil garde nos fonds et quil lesfasse valoir. Nous avons été trompés par de faux rensei-gnements, laffaire est meilleure que jamais. Il faudraitêtre lâche pour renoncer à lavenir que lhabileté, la pro-bité et limmense solvabilité de M. Bourset ouvrent devantnous. LE DCC DE LA Cest mon avis. LE MARQUIS DE Et le mien. PLUSIEURS VOIX. Eh oui, cest le nôtre à tous. BOURSET. Je vous remercie. Messieurs, de cette preuve des-time ; et quelque pénible, quelque dangereuse que soitla lâche que vous mimposez, je saurai men rendredigne. Jen parlerai au récent dès que larrêt sera révo-qué, et il sera tellement flatté de votre confiance au sys-tème, que vous obtiendrez de lui, je nen doute pas, lesfaveurs et monopoles que vous sollicitez depuis si long-temps : vous, monsieur le duc, les sucres et cafés; vous,monsieur le comte, le monopole des cuirs ; vous, mon-sieur le marquis, celui des graisses, savons et chau- LES ou I oii ! Léonce, vous mavez leiiJu le cœur de uia Iclle. (lâge 3o.) délies • ; vous, monsieur le duc, que demandez-vous? LE DUC. Est-ce que vous ne pourriez pas me trouver quelquechose dun jieu moins malpropre? (Bas à Bourset.)Moi, mon clier Bourset, je suis très-content dêtre rem-boursé et tr(s-déi;oùlé des affaires. A mon âge, vouslavez dit, il faut du repos. LE COMTE DE iioRN, bas à BouTset. Je vous ai donné un bon coup dépaule; vous paierez,je lespère, ma petite dette de BOURSET, orec ùi<e;j/(o?i. Fùt-elle de cinq mille livres, monsieur le LE COMTE DE Elle nest que de dix Ilislorique. BOURSET. Soit. [A pn»7.)Mendiant. puisses-tu être roué vif! LE DUC, à part, pendant que Bourset reçoit les poi-gnées de main, accolades et fclicitations de çà! ce Bourset est-il le plus rusé coquin ou le plus honnête homme que jaie jamais connu? BOUUSET, trarersant le salon pour donner de


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