. comptesrendusheb1051887acad. es naturelles. ( 423 ) qui vole dans un plan horizontal {fig. i); puis, en projetant cette figure sur un écran, agrandissons-la jusqu'à ses dimensions réelles, de telle. AtUtudcs successives d'un goéland pendant une révolution de ses ailes. La courbe ponctuée exprime les oscillations de l'Åil de l'oiseau. Les deux lignes pleines horizontales mesurent par leur écar- tement l'amplitude de ces oscillations. Les trois croix indiquent les hauteurs où se trouve le centre de gravité jdu corps pendant les maxima et minima de son oscillation apparente. sorte que c
. comptesrendusheb1051887acad. es naturelles. ( 423 ) qui vole dans un plan horizontal {fig. i); puis, en projetant cette figure sur un écran, agrandissons-la jusqu'à ses dimensions réelles, de telle. AtUtudcs successives d'un goéland pendant une révolution de ses ailes. La courbe ponctuée exprime les oscillations de l'Åil de l'oiseau. Les deux lignes pleines horizontales mesurent par leur écar- tement l'amplitude de ces oscillations. Les trois croix indiquent les hauteurs où se trouve le centre de gravité jdu corps pendant les maxima et minima de son oscillation apparente. sorte que chaque image ait les dimensions véritables de l'oiseau et que la distance qui sépare deux images consécutives corresponde exactement à l'espace parcouru entre deux éclairements successifs, c'est-à -dire en /â de seconde. » Sur la figure ainsi agrandie, cherchons un point du corps de l'oiseau qui soit visible dans chacune des images, l'Åil par exemple, et traçons la courbe ponctuée qui passerait par la série des yeux. » Menons une droite tangente à deux minima consécutifs de la trajec- toire onduleuse de l'Åil et, parallèlement à cette ligne, une autre droite tangente au maximum de cette trajectoire : l'écartement de ces parallèles mesurera l'amplitude d'une oscillation verticale du corps de l'oiseau. Dans le cas présent, cet écartement mesurait o",o45. » Ces oscillations ne sont qu'apparentes, ou du moins n'affectent pas le centre de gravité du corps, point qui doit seul être considéré dans la me- sure des déplacements de la masse de l'oiseau. )) Eu effet, selon que les ailes se portent en haut ou en bas, le centre de gravité s'élève ou s'abaisse dans le corps de l'oiseau. Or, si Fou retranche de l'oscillation apparente de l'oiseau ce qui correspond au déplacement du centre de gravité dans son corps, l'oscillation réelle n'est guère que de oâ¢,oi, valeur néglige
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