Les établissemens de Saint Louis, roi de France : suivant le texte original, & rendus dans le langage actuel, avec des notes; suivis du Panégyrique de SLouis, prononcé dans la chapelle du Louvre, le 25 août 1784, en présence de l'Académie françoise . urementyqui eftfet en la Cort le Roy. zi/{ Chap. XXIX. Dhons qui defavoûefonSeigneur. z\^ Chap. XXX. De Aubains^ & de Baf-tards. zi6 xxiv TABLE DES CHAPITRES. Chap. XXXI. De demander hons commefon ferf, ziy Chap. XXXII. Defemondre tes hommesle Roy en autre Jujlice^ qu*en la feue. zzi Chap. XXXIIL De requerrefonjujlifa^ble en la Cort le Roy, zzl Ch
Les établissemens de Saint Louis, roi de France : suivant le texte original, & rendus dans le langage actuel, avec des notes; suivis du Panégyrique de SLouis, prononcé dans la chapelle du Louvre, le 25 août 1784, en présence de l'Académie françoise . urementyqui eftfet en la Cort le Roy. zi/{ Chap. XXIX. Dhons qui defavoûefonSeigneur. z\^ Chap. XXX. De Aubains^ & de Baf-tards. zi6 xxiv TABLE DES CHAPITRES. Chap. XXXI. De demander hons commefon ferf, ziy Chap. XXXII. Defemondre tes hommesle Roy en autre Jujlice^ qu*en la feue. zzi Chap. XXXIIL De requerrefonjujlifa^ble en la Cort le Roy, zzl Chap. XXXIV. De franchir hons. 21 j Chap. XXXV. De relafchierlarron, zz^ Chap. XXXVI. De gendllece de Ba-ron, ibid. Chap. XXXVII. Comment jugementdoit efire efiablis y quand priieves fontzgaux d^une part & dautre, 22 y Çhap. XXXVIII. Comment len doitappeller de murtre, 227 Chap. XXXIX. Des mûehlesy & des hé-ritages de larrons y & des murtriers ycomment ils demeurent as Seigneurs, 228 Chap. XL. De dete connue & prouvée ycomment len doit le deteur porforcieryquand il ne veut fere payement. 22^ Chap. XLI. De chevàuchiée fere aarmes. 231 Chap. XLII. De defavoër fonfié de fortdroit Seigneur, 233 Fin de la Table. DISCOURS. DISCOURS PRÉLIMINAIRE. 3IL eft vrai que les loix foient le pluspuiflant reffort des Etats, le lien le plusfort des peuples &: des Rois, 6c que deleurs changemens divers naiflent prefquetoutes les révolutions qui élèvent ouafFoibliffent les Empires, quel doit êtrele zèle des SouveTains pour donner àleurs fujets les meilleures loixpoffibles,6«: celui des peuples, pour les obferveravec le plus dardeur. Les fiecles les plusglorieux pour les Etats ont toujours étéceux où les loix ont été didées avec plusde fageffe 6c maintenues avec plus devigueur j & les jours funeftes de leur dé-cadence ont été marqués ou par les va- A z Discours nations perpétuelles des loix, ou par rin-fouciance des chefs &c des peuples à veil-ler à leur obfervatio
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