. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. â 192 â fixe sur son hôte, elle pénètre entre les valves de l'Oslracode, se tixe à la partie postérieure du corps, là où se trouve la cavité incubatrice, et enfonce la partie antérieure de son corps dans la peau de sa victime. Il se produit alors un fait tout à fait anormal, tel qu'on n'en a jamais signalé de pareil dans aucun autre groupe d'Ãpicarides et qui rappelle étonnamment ce qui a été vu chez d'autres Crustacés parasites, les Copépodes de la curieuse famille des Monstrillidae, parasites des Anné


. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. â 192 â fixe sur son hôte, elle pénètre entre les valves de l'Oslracode, se tixe à la partie postérieure du corps, là où se trouve la cavité incubatrice, et enfonce la partie antérieure de son corps dans la peau de sa victime. Il se produit alors un fait tout à fait anormal, tel qu'on n'en a jamais signalé de pareil dans aucun autre groupe d'Ãpicarides et qui rappelle étonnamment ce qui a été vu chez d'autres Crustacés parasites, les Copépodes de la curieuse famille des Monstrillidae, parasites des Annélides : à la partie antérieure du corps, au-dessus des anlen- nules, se forme une paire de longs filaments radiculaires qui pénètrent dans le corps de l'hôte et qui ont certainement un rôle nourricier, analogue à celui des racines des Rhizocéphales (fig. 29, n) ; une plaque chitineuse terminée par de longs denticules se forme à la partie antérieure, entre les bases de ces fila- ments et vient encore assurer la fixation du parasite. On voit alors se former, sous la cuticule larvaire cryptoniscienne, un corps allongé, fusiforme, occupant toute la cavité interne ; cette cuticule s'élimine peu à peu d'arrière en avant et dans les stades suivants, il ne reste plus que les premiers somites de cette mue, avec ses appendices plus ou moins conservés, sur Textrémité antérieure de la femelle. Ceux-ci finissent par dispa- raître à leur tour et le parasite n'est plus fixé à son hôLe que par l'extrémité antérieure du corps qui a pénétré dans le corps de l'Ostracode (fig. "29, h) : cette extrémité s'effile, s'allonge peu à peu et se change en un pédoncule fin et flexible qui relie la femelle adulte à son hôte (Hg. 29, c). A l'intérieur du corps du parasite se trouve un organe volumineux qui, arrondi antérieurement, s'étend jusqu'à l'extrémité


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