. Journal Francoise 6 jan1906 . nsif et triste infiniment,affirmait pour expliquer son étrangeempressement quayant, dû quitterles Xoulous, il se hâtait de ne passe dépayser. Ces raisons ayant paru bien futi-les, on résolut de le leur démontrer,et de la façon originale, comme ilsied a des intellectuels récemmentémancipés. On mit ensemble quel-ques gourdins, de gentilles boules de,neige, des œufs très irais, et on leur y>5 Etait-il blanc, noir on safran :?Portait-il lor, la myrrhe ou len-cens ? Au pays de Chimère, on ne la ja-mais su. Alun par une dure expérience, tegrand-prêtre de Zoroastn-,
. Journal Francoise 6 jan1906 . nsif et triste infiniment,affirmait pour expliquer son étrangeempressement quayant, dû quitterles Xoulous, il se hâtait de ne passe dépayser. Ces raisons ayant paru bien futi-les, on résolut de le leur démontrer,et de la façon originale, comme ilsied a des intellectuels récemmentémancipés. On mit ensemble quel-ques gourdins, de gentilles boules de,neige, des œufs très irais, et on leur y>5 Etait-il blanc, noir on safran :?Portait-il lor, la myrrhe ou len-cens ? Au pays de Chimère, on ne la ja-mais su. Alun par une dure expérience, tegrand-prêtre de Zoroastn-, procheparent de beaucoup Aautres grands-prêtres, sest borné par la suite àenseigner les maximes du Zend-Avesta et à cultiver son jardin. Cétait plus quun AI âge, cétaitun sage. FRED. GELIXAS. fit le tout, en sume (2) Le Cardinal de Mo/arln me parla de lucomtesse de Fiesque avec s., atéuiu mépris qua-vait fait la lieim- et me dit: quil ne con-naissait point madame de Frontenac. î- tt S u mmt et retoîie. SIMPLE APOLOGUE Celte histoire estsi vieille, si vieil-le, quelle se perdl&d a n s la n u i tides siècles dispa-I lut au pavsde Chimère,à lâgedes Cavernes, dans!un cadre aujour-dhui complète M làvd. Qmrxm mtnt abali- LesTroglodytes se la racontaient cuire,eux. En ces temps là donc, il v eutdans la voûte sidérale des,perturba-tions inquiétantes et qui se répercu-tèrent sur la pauvre planète. Un Mage, oublieux de toutes lessaines traditions, osa se montreraux yeux des mortels étonnes troissemaines avant ta Nuit de Noë Pue étoile, celle là qui toujoursauparavant le précédait dans sa dadmiration. Comme ces objets —avec les jeunes intellectuels—étaientles principaux produits du pavs deChimère, ils furent jugés charmants,e n bloc. A cette époque reculée, comme au-jourdhui du reste, il v avait das-sez nombreux spécimens de la racehumaine qui. vivaient en mettant dunoir sur du blanc. Ces journalistesdu Quaternaire étaien
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