Oeuures morales et diuersifiees en histoires, pleines de beaux exemples, enrichies d'enseignemens vertueux, & embellies de plusieurs sentences & discours Lé tout tiré des plus signalez & remarquables autheurs grecs, latins & françois, qui ont escrit de tout temps, pour l'enseignement de toutes personnes, qui aspirent à vertu & philosphie chrestienne Reueues, corrigées & augmentées de plus des deux tiers, outre la precedente impression . eft creé,on le colloque au fiege S. Pierre [ â ces nnspercé)oii le plus ieune Diacre des Cardinaux luy manie pardeflbus les genitoires,«Sc après crie tout haut
Oeuures morales et diuersifiees en histoires, pleines de beaux exemples, enrichies d'enseignemens vertueux, & embellies de plusieurs sentences & discours Lé tout tiré des plus signalez & remarquables autheurs grecs, latins & françois, qui ont escrit de tout temps, pour l'enseignement de toutes personnes, qui aspirent à vertu & philosphie chrestienne Reueues, corrigées & augmentées de plus des deux tiers, outre la precedente impression . eft creé,on le colloque au fiege S. Pierre [ â ces nnspercé)oii le plus ieune Diacre des Cardinaux luy manie pardeflbus les genitoires,«Sc après crie tout haut,^apa tefltculos habet duos. Ce font les principales hiftoires de fuppofition desper-fonnes,que Tay peu recueillir : par lefquelles toutefois, nypar nos loix aufTi, nous ne pouuons bonnement détermi-ner certaine peine de ce fai(ft, ou foit par la loy dAntonin,qui veut que le crime de Faux(duquel pourtant la peine or-dinaire neit que de bannifTement, & confifcation : & parluftinian ofté, & les biens conferuez aux héritiers , quandil y a fuppofition de perfonnes ) foit puny capitalement:bien que linterprétation de ce mot,Capitalement,qui peuteftre rapporté à mort ciuile, & naturelle, doiue eftre com-mifeà larbitre du luge: lequel ayant poifé toutes les cir-conllances , aduifera filefaid mérite de faire mourir lepreuenu,ou naturellement, ou ciuilement. De Poijiiieté^o* mmxfroudAns diceUe, C H A p. 30,. OEVRES MORALES E neft fans grande raifonjfî ceuT,qoi iacJisont bafty les fondemensdes Républiquesbien ordonnées, ont condamné fur toutJC Joifiuetc: veu les maux quvn vice fî pol-^ tron engendre en vne cité, & le grand per-uertifTement de la ieunciTe qui fuyt les a-Marc Au- doîefcenSjlefquels nont autre vacation que de rien faire:rcle,ch.î>. eftant vne reigleinfaiiible, félon la fentence du fage Em-pereur Marc Aureie, que nul homme vertueux peut viurcfans quelque exercice, mais que celuy qui eft oilif, ne fautiamais de tomber en péché, & de remarque
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