. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... teurs sont trop dépourvus de nervation, pour qu'on puisse iihlemenl entamer leur analyse. Toutefois il faut citer un Robinia des couches de Rott, décrit par Weber sous le nom de Robinia helcroinorpho'Lies (i) qui s'éloigne du fossile du Cantal par la forme, par Téchancrure terminale moins accentuée, Tangie d'émergence des nervures secondaires et probablement par leur réunion à la marge. Enfin certaines Lt'guminositcs, notamment L. Prost:rpi/ia\ Herr, rappellent UT peu par leur forme le fossile que nous dé
. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... teurs sont trop dépourvus de nervation, pour qu'on puisse iihlemenl entamer leur analyse. Toutefois il faut citer un Robinia des couches de Rott, décrit par Weber sous le nom de Robinia helcroinorpho'Lies (i) qui s'éloigne du fossile du Cantal par la forme, par Téchancrure terminale moins accentuée, Tangie d'émergence des nervures secondaires et probablement par leur réunion à la marge. Enfin certaines Lt'guminositcs, notamment L. Prost:rpi/ia\ Herr, rappellent UT peu par leur forme le fossile que nous décrivons, mais l'état fruste des empreintes ne permet pas de les assimiler. Les Robinia sont des arbres ou arbrisseaux de l'Amérique du Nord et, bien que le plus grand nombre appartienne au nouveau monde, on en trouve quel- ques espèces disséminées çà et là dans l'ancien. D autre part ce genre s'acclimate si bien en Europe où.il devient subspontané que tout concorde dans la morpho- logie et la biologie actuelles à légitimer l'attribution que nous proposons pour le fossile de Saint-Vincent. LÉGUMINOSITES sp. A côté des folioles de Robinia il faut mentionner à Saint-Vincent une autre légumineuse qui se distingue de ce genre par un réseau de nervures composé de mailles beaucoup plus allongées dans le sens des nervures secondaires et qui pour cette raison paraît devoir être disjointe de la première. Ces folioles appartiennent, à n'en pas douter, à une légumineuse. L'une pos- sède une base assez inégale, sans présenter toutefois de nervures plus fortes d'un côté que de l'autre, comme c'est le cas pour le Tania- rinJus par exemple et comme on l'observe dans le genre éteint PoJogonium, auquel on serait tenté tout d'abord de les assimiler. C'est plutôt l'absence de caractères positifs qui nous a empêché de le faire et afin de pousser le plus loin possible la prudence en ce qui touche à des assimilations, qui pourraient avoir de graves cons
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