Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . nt en sa source à son confluent, il longe la base orientale des pentes que sur-montent les chaînes ouraliennes, et cest à lui que viennent lés tributairesles plus importants de ce faîte de séparation entre lOb et la Volga. Un de cesaffluents est la rivière Toura, que suivirent les premiers envahisseurs de laSibérie et qui, depuis les temps de Yermak, est resté la principale voie his-torique entre la Russie dEurope et la Russie dAsie. Autrefois le Tobolsunissait à lIrtîch précisément en face de la haute berge qui porte lesédific
Nouvelle géographie universelle : la terre et les hommes . nt en sa source à son confluent, il longe la base orientale des pentes que sur-montent les chaînes ouraliennes, et cest à lui que viennent lés tributairesles plus importants de ce faîte de séparation entre lOb et la Volga. Un de cesaffluents est la rivière Toura, que suivirent les premiers envahisseurs de laSibérie et qui, depuis les temps de Yermak, est resté la principale voie his-torique entre la Russie dEurope et la Russie dAsie. Autrefois le Tobolsunissait à lIrtîch précisément en face de la haute berge qui porte lesédifices de Tobolsk, et cette ville était menacée de sécrouler quartier àquartier avec les pans de la falaise, minée par les remous des deux épis et les fascinages de défense furent emportés par les eaux, et tôt outard Tobolsk eût partagé le sort de lancienne Sibir, bâtie également surla « haute rive », cest-cà-dire sur la rive droite de lIrtîch, si le confluent,. 1 Pallas, Voyage en diverses parties de lempire a - (9 o 3 > en O 3 84 TOBOi, OB. 067 du Tohoi et ses dangereux remous navaient été déplacés. En 1716, legouverneur Gagarin fit creuser par des captifs suédois un canal de plus de5 kilomètres de longueur, qui reporta la bouche du Tobof en aval dela cité et permit de défendre avec succès contre les érosions la base desescarpements de ToboTsk. LOb supérieure, qui rejoint lIrtîch à 500 kilomètres en aval de Tobofsk,est une fille de lAltaï : sa principale branche, la Katoun, cest-à-dire la N° 141. RIVIERES DESSECHEES DE BARXAOUL.
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