. Recveil des oevvres . il ne de chofe ejiantpieca perdueQue trop en -vain il auroit attendue. Vous qui auex_ rentes,^ force efcw^ySi de Fortune efies mat^^ ^ -vaincux,il ne yomfault colerer nullement. 0- 4 louer ê J04 BES MAL CONTENS» louer deue^pourpUifirfeulement:Mais tel y ytent riche,îojeux,^ s*en ^ trijî efl chaultau ieuyfifegardeyCar le malheur quil tarde.^ Les gens de hienfcauentpajjer le tempsEn bonne paixyfkns courroux ne content:^,Sommeyilnefault iouer fafcheujèment,Celuy qt4 ioyeufèmentS*tl eflpojltble^aM


. Recveil des oevvres . il ne de chofe ejiantpieca perdueQue trop en -vain il auroit attendue. Vous qui auex_ rentes,^ force efcw^ySi de Fortune efies mat^^ ^ -vaincux,il ne yomfault colerer nullement. 0- 4 louer ê J04 BES MAL CONTENS» louer deue^pourpUifirfeulement:Mais tel y ytent riche,îojeux,^ s*en ^ trijî efl chaultau ieuyfifegardeyCar le malheur quil tarde.^ Les gens de hienfcauentpajjer le tempsEn bonne paixyfkns courroux ne content:^,Sommeyilnefault iouer fafcheujèment,Celuy qt4 ioyeufèmentS*tl eflpojltble^aM moins (fi iefcay dire)Nen prenne enfày aucun defpitouire^Veu quon nepeuh eftre toufiours puis le leu efl bien tant dan oné i^artabley^plein de defuerie,Qud efl tenu pour la quarte dompte-:^ donc ces cueurs tout a loyflr,.Pour puis après mieulx louer a plaifir:Etfatélesjîn à yo^ leux^ debar^sAtns que i/enir aux Jouxtes ^ combat:^. Des mal contens. A Vierre de BourgLyonnoU*, lor^,. Ontyient cela,mon ^Amy Pierrr,que iamah nul nefe contente defoneflityfoit que Fortune le luy ayt of-fert c^ donné y ou que luy mefmes layt DES MAL CONTENS. lO^ I tuytchoijy four certaine caufè^ raifon ? Que les I Mur chas font bienheureuxydid leyieilfouldurtqui fefent tout rompu depewe et de coups. Et au rehoursy celuy qui efl dejjtis la Mer en marchandife,dtéTainfi quand ilfaicl tormente : il faté} bien meilleur a la guerreiqutl nefott yray:>on s^y ejcarmouche de forte quen ynmomentyient ou mortjou ioyeufè yiéhîre. Le ConfeiUer^ou l^duocat ( quadtloyt le Soliciteur hurter deuat tour àJaporte)louë leftat du laboureur. Le Payfânt qui yient de loingpour comparoijlre à fa tournée diB^ quil ny ha heureux que ceulx qui ont leur demeure en la yiUe, Et tant dautres fèmblables ^ ceo-randcaufeurfe lafferoit à les Fabius grand capter. Mats Ça fin que ne te tienne trop lonjntement) efcoute ynpeu la ou cejî que tend mon quel que


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