Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . t pris, et tcichcr de nous enleverSedan et Thionville. Ils ny renoncèrentque parce que le gouvernement autrichiende Belgique rappela les cor[>s autrichiensdo larmée alliée [xtur soutenir une enlic- | prise quil tentait sur Lille, et aussi parcequil arriva des nouvelles menaçantes desbords du Rhin. Les Français étaient entrésde lAlsace dans les provinces rhénanes. Les Prussiens évacuèrent Verdun le 13 oc-tobre , dans le plus grand désordre, etLongwi le 22. Dumouricz pouvait encore réparer sonerreur. Le ministè


Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . t pris, et tcichcr de nous enleverSedan et Thionville. Ils ny renoncèrentque parce que le gouvernement autrichiende Belgique rappela les cor[>s autrichiensdo larmée alliée [xtur soutenir une enlic- | prise quil tentait sur Lille, et aussi parcequil arriva des nouvelles menaçantes desbords du Rhin. Les Français étaient entrésde lAlsace dans les provinces rhénanes. Les Prussiens évacuèrent Verdun le 13 oc-tobre , dans le plus grand désordre, etLongwi le 22. Dumouricz pouvait encore réparer sonerreur. Le ministère avait mis Kellerniannsous ses ordres. Dumouricz pouvait déta-cher quelques troupes au secours de Lille,poursuivre, avec la masse toujours crois-sante de ses forces, les Prussiens qui saffai-blissaient à mesure que les Français se ren-forçaient, et obtenir du ministère lordre ànos généraux dAlsace de d(>scendre leBhin pour prendre lennemi à revers. Lar-mée prussienne une fois accablée, la Bel-girpie autrichienne , prise à revers à son POPULAIRE. 0. La Turbia. tour, tombait eu un moment, et, comme ladit M. Thiers dans son Histoire de In Rcvo-iuiinn : « Tout était France jusquau Rhin. » lUimuuriez manqua ce beau plan et revintà son idée favorite dattaquer la Beliiiquede front. Il laissa une partie de son arméepousser les Prussiens hors de notre fron-tière, fit marcher lautre partie vers la Flan-dre, et sen alla à Paris pour tâcher dinter-venir entre les partis qui divisaient la nou-velle Assemblé*! nationale, et de se fairenommer <,^(;néralissime de touts nos ar-mées. Il nobtint pas ce commandement su-prême; mais il fut autcuist à exécuter ses[)lans sur la l>el;4i<|ue. Les Autrichiens de Hel^nipie, dans lecourant de septembi-e, avaient profilé du(lt[)art dune ^ramb p;irli(^ de nos troupes T. IV. de Flandre pour lArgonne, et pris loffen-sive contre le département du Nord. Ilssurprirent et enlevèrent deux petits campsfran


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