La Lecture . jours considéré comme bienpropre. Antofagasta, cétait Tunique port de la Bolivie, son uni([ue point de communica-tion avec locéan, avecle dehors. La Bolivie, ne dou-tant pas delle-même,envoya des na vu cp^i opé-rettes-bouffes , danslesquelles un généralPataquès quelconquese présente à la têtedune escouade demannequins rouges ouverts pour renverserle pouvoir gouvernant,un général Bombardesnon moins grotesqueque son compétiteur?.Te nessaierai pas dedépeindre larmée bo-livienne telle quelleest actuellement. Ilfaudrait écrire uneopérette-bouffe. Tou-tefois, si lon considèr
La Lecture . jours considéré comme bienpropre. Antofagasta, cétait Tunique port de la Bolivie, son uni([ue point de communica-tion avec locéan, avecle dehors. La Bolivie, ne dou-tant pas delle-même,envoya des na vu cp^i opé-rettes-bouffes , danslesquelles un généralPataquès quelconquese présente à la têtedune escouade demannequins rouges ouverts pour renverserle pouvoir gouvernant,un général Bombardesnon moins grotesqueque son compétiteur?.Te nessaierai pas dedépeindre larmée bo-livienne telle quelleest actuellement. Ilfaudrait écrire uneopérette-bouffe. Tou-tefois, si lon considèrece quest larmée Boli-vienne actuelle on seligure aisément cequelle pouvait être en1879, au moment oùelle eut à défendre son territoire contre les ennemis de la patrie,es Chiliens en lespèce. Larmée bolivienne actuelle compte (la statistique sen trouvedans les annuaires qui circulent en Bolivie) environ (|uinze cents* onnncs, desquels il faut défalquer six cents musiciens La lAZ. — Le tambour major du l rcginicnt bolivien. EX BOLIVIE 15 Le reste du contingent, réparti sur le territoire de Bolivie, unterritoire pour le moins cinq fois aussi grand que la Prance,sedivise en trois armes. Armes épiques!! Linfanterie tout derouge habillée, avec des havresacs en drap rouge, lartillerie!!la cavalerie!!! Il faudrait avoir un objectif assez grand pour englober dansun seul groupe cette armée mirmidonesque. La chose nen seraitpas impossible sans doute, si elle ne se trouvait pas éparpilléesur les quatre points cardinaux de la république faut nous borner à joindre à ce récit un spécimen de tambour-major bolivien. Il donnera une idée fugitive du reste de larmé uno cUsce omnes. Dans leurs histoires nationales, les Chiliens se gardent biende préciser tous ces détails. Ce serait une faute de ravaler len-nemi quon a battu, on y risque den diminuer dautant son propremérite. Aussi, tous les récits de la bataille de Calama,
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