Œuvres diverses de M L de Chaulieu . AT> P T R R H A Ai. Q^is mdta^racilis fe ^mr inrcfuy ^c. JL/ Is-moî, Pyrrha, quel eft cet amant fortuné.Tout parfumé dodeurs, & de fleurs couronné ;Pour qui, fans aucun foin de ce rendre plus belle5_Ta (implicite naturelleLaiffe flotter fes blonds qui dans ur^e grotte , où ton amour Tapcllcs^Croit de tous les mortels écre le plus heureux BX,i fur un lit femé de jafmins Se de rofes,Ou tranquilement tu repofes yS*âbandonnant à fes déflrs ,ïl aime àfe noï r dans les plus doux plaîfirs*Mais fl tôt quil verra fon vailTeau trop fragile ;,Agitç par l
Œuvres diverses de M L de Chaulieu . AT> P T R R H A Ai. Q^is mdta^racilis fe ^mr inrcfuy ^c. JL/ Is-moî, Pyrrha, quel eft cet amant fortuné.Tout parfumé dodeurs, & de fleurs couronné ;Pour qui, fans aucun foin de ce rendre plus belle5_Ta (implicite naturelleLaiffe flotter fes blonds qui dans ur^e grotte , où ton amour Tapcllcs^Croit de tous les mortels écre le plus heureux BX,i fur un lit femé de jafmins Se de rofes,Ou tranquilement tu repofes yS*âbandonnant à fes déflrs ,ïl aime àfe noï r dans les plus doux plaîfirs*Mais fl tôt quil verra fon vailTeau trop fragile ;,Agitç par les vents, prêt à fe renverfer 5On le verra bien- tôt pouflerVers le ciel fa plainte inutile ^Lui qui par fa crédulité »Sur la foi de ton cœur voguoit en fureté. Malheur , beauté trop inconftante aMalheur à qui tu patoib lî charnunçc / 503 ds M. le M. de ta FarrelPour moi, dans le port arrivé>Je fuis à labri de Torage ;Ec joffre de bon cœur aux Dieux qui mont fauveTout le débris de mon naufragd. 5^4 focjks B H E U F U G A C E S\ Pojîume 5 Pojlume 5 ^c. X Ofthume, de nos ans que la fuite eft légère !Qiie la mort indomptée^ & la vieilleffe auftére , Avancent vers nous à grand pas !Léclat de ta vertu , que dans Rome on revere , Ne les touchera pas. Vainement tes dcHrs pieux & légitimes ,•Tâcherontde fléchir, par cent mille viéiimes Du Dieu des morts le cœur dairain ; - k Geryan 3c Titye au food des noirs abîmes ,Le reclament en vain. Il les tient enfermez par cette eau dé à chaque mortel, innocent ou coupable. Né Berger, ou du fang des Rois,Le paffage terrible autant quinévitcible, N*eft permis quune fois, Bn vain on Fuit de Mars la main enfang lancée, de M. le M. de U Farre, • 505 Et des vents du midi la vapeur empcftéc, 11 faut defccndre chez les morts ;Du Cocyte il faut voir Teau noire & dcteftée > Et fes funeftes bords. Il faut te réparer de ton Epoufc aimable,Et de cette maifon, de ce bois agréable ,
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