Les symboles de la croix . DEUXIEME PARTIE Te foyer séteiat; quels que soient, en un mot, lelabeur, lépuisement, la fatigue, je suis toujoursravivé aux pieds du crucifix. La bienheureuse Marie dOignie ne pouvaitjeter un regard sur la croix sans pleurer beau-coup, ou être ravie en extase. Quelquefois, pourarrêter ce torrent, elle sappliquait fortement àcontempler la majesté de Dieu, et son impassi-bilité; mais, lorsque la pensée des souffrances,quil avait endurées pour elle, venait de nou-veau frapper son esprit, les larmes recommen-çaient aussitôt à lui couler avec plus dabon-dance. Lorsque sa
Les symboles de la croix . DEUXIEME PARTIE Te foyer séteiat; quels que soient, en un mot, lelabeur, lépuisement, la fatigue, je suis toujoursravivé aux pieds du crucifix. La bienheureuse Marie dOignie ne pouvaitjeter un regard sur la croix sans pleurer beau-coup, ou être ravie en extase. Quelquefois, pourarrêter ce torrent, elle sappliquait fortement àcontempler la majesté de Dieu, et son impassi-bilité; mais, lorsque la pensée des souffrances,quil avait endurées pour elle, venait de nou-veau frapper son esprit, les larmes recommen-çaient aussitôt à lui couler avec plus dabon-dance. Lorsque sainte Lutgarde ressentait quelquepeine desprit ou de corps, toute sa consolationétait de se mettre devant limage de Jésus cru-cifié. Cette vue répandait dans son ùme une sigrande plénitude de joie et donction, que toutesses peines se dissipaient en un instant^. « Comment trouver des hommes qui soientpour les malades de vraies mères, et non des mer-cenaires?» sécriait saint Camille de Lellis. Alorsil p
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