. Les musées d'Europe. La sculpture au Louvre; . Le dieu Uurus. minées el rentrées va souvrir et monlrei ie est surmontée dunchapiteau du templede Bubastis Tell elB a s t a, une figurejeune, aux traits ra-massés, coifïée delourds ornements. Si la favorite royaleHentateh est char-mante, la déesseSekhet, avec sa têtede lionne ou de pan-thère, est plus ter-rible que les être à corpsde femme, à visagedanimal, est le plusobscur de tous. Il ya en lui une grâceinquiétante qui peutse changer tout-à -coup en une cruautéféline, en une féro-cité i m p 1 a c a b 1 Ã


. Les musées d'Europe. La sculpture au Louvre; . Le dieu Uurus. minées el rentrées va souvrir et monlrei ie est surmontée dunchapiteau du templede Bubastis Tell elB a s t a, une figurejeune, aux traits ra-massés, coifïée delourds ornements. Si la favorite royaleHentateh est char-mante, la déesseSekhet, avec sa têtede lionne ou de pan-thère, est plus ter-rible que les être à corpsde femme, à visagedanimal, est le plusobscur de tous. Il ya en lui une grâceinquiétante qui peutse changer tout-à -coup en une cruautéféline, en une féro-cité i m p 1 a c a b 1 é, si ri-gide, va tout à coupbondir, ces yeux mi-clos vont se dilater etbriller, cette gueulefermée aux lèvresdes crocs redoutables. EGYPTE. LA DÃESSE SEKHET - 11 â Il ny a pas que des dieux et des rois dans ce monde pétrifiéde lEgypte, et lon pourraitcroire que chaque être vivanta eu son double sur cette terredes morts, sa statue ou sonimage gravée, comme il a eusa momie. Les plus touchantesde ces représentations sontcelles où le couple humainest représenté, lhomme et lafemme sen allant de com-pagnie à travers les ténèbresde la nuit éternelle comme ilsallaient dans latmosphère lu-mineuse du soleil. Il y aplusieurs de ces représen-tations au Louvre. Ainsi, legroupe de Har, scribe, et de safemme Nofre Ari, lhomme etla femme près lun de lautre,lhomme avec des épauleslarges, la femme plus fine, luivêtu dune robe collante, elledune jupe évasée, tous deuxaussi paisibles, aussi impas-sibles cjue leurs rois sontpuissants, que leurs dieux sontimmortels. La période que lon dit «de Personna(je iioiuiué }[osou (Epo(jue Saïte). décadence», marquée par la charmante Renaissance Saïte, de 720 à 525, est prÃ


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