Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . 1875). KAVIS (vi) n. m. pi. Génies pervers et malfaisants dansla religion mazdéenne. — UnKA.\\. Kawaja ou KavaÏA, ville de la Turquie dEurope(Albanie [vilavet do Scutarij), non loin de la mer Adria-tique; hab. KAWA-KAWA n. m. Bot. et pharm, Syn. de kava. KAWI [ka-ou-i) n. m. Ancienne langue littéraire de Java :Le KAWI est au javanais moderne à peu près ce quest le la-tin an français. Il Adjectiv. : Alphabet kawi. — KnCYcl. Le kawi est un idiome agglutinant du groupemaléo-polynésien. Ce fut la langue littéraire [kaioi, po
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . 1875). KAVIS (vi) n. m. pi. Génies pervers et malfaisants dansla religion mazdéenne. — UnKA.\\. Kawaja ou KavaÏA, ville de la Turquie dEurope(Albanie [vilavet do Scutarij), non loin de la mer Adria-tique; hab. KAWA-KAWA n. m. Bot. et pharm, Syn. de kava. KAWI [ka-ou-i) n. m. Ancienne langue littéraire de Java :Le KAWI est au javanais moderne à peu près ce quest le la-tin an français. Il Adjectiv. : Alphabet kawi. — KnCYcl. Le kawi est un idiome agglutinant du groupemaléo-polynésien. Ce fut la langue littéraire [kaioi, poli,soppose à djawi, nom de la langue populaire) de lîle deJava, entre 800 et uoo do Turc chrétienne. Sa littératurese compose surtout do traductions douvrages hindous(poésie, histoire, mythologie, législation). Le lexique kawicontient un grand nombre déléments empruntés au san-scrit. Cf. G. de Ilumboldt,/a Langue kawi (1836-1840). KATAC {ka-i-ak) ou KAJAC {jak) n. m. Bateau de pèchedu Groenland, on peau de phoque, très peu stable, fil a 5. à 6 mètres de long sur O^.SO de large. Ceux qui le montentse servent dune pagaie et sentourent de vêtements étan-clies et insubmersibles.) KATAGE {kè-i-aj — du vx. franc, kai, quai) n. m. Droitque lon payait pour pouvoir charger et décharger desmarchandises sur un quai. KayanOS, tribu du nord-ouest de la Birmanie. — VnKayano. — Knctcl. Les Kayanos ressemblent beaucoup aux Ka-rens et, comme eux, paraissent descendre des habitantsprimitifs de lIndo-Chino. Ils élèvent des troupeaux, solivrent à la pécho et tissent des étoffes do coton. Onvante leur caractère bon et loyal; lhomicide est toujourspuni dune amende, et, si le coupable ne peut la payer, ildevient lesclave do la famille de la victime. Kaye (sir John William), historien et administrateuranglais, né à Londres en 1814, mort à Forest-Hill en1876. Il servit au Bengale dans lartillerie. En 1845, re-nonçant au métier do soldat, il fonda la Rev
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