. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. ^:so 55 long, roide, rosé, à large cannelure, souvent denticulées. Pomme Alsopus Spitzenburgh. â Stipules : fortement développées et Fertilité. â Ordinaire. Culture. â Au cours de ses deux ou trois pre- mières années, cet arbre pousse parfaitement, mais ensuite sa vigueur dimi- nue beaucoup trop pour qu'il soit possible d'en faire un plein-vent; le gobelet, le cordon, l'espalier, sont les formes qui lui convien


. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. ^:so 55 long, roide, rosé, à large cannelure, souvent denticulées. Pomme Alsopus Spitzenburgh. â Stipules : fortement développées et Fertilité. â Ordinaire. Culture. â Au cours de ses deux ou trois pre- mières années, cet arbre pousse parfaitement, mais ensuite sa vigueur dimi- nue beaucoup trop pour qu'il soit possible d'en faire un plein-vent; le gobelet, le cordon, l'espalier, sont les formes qui lui convien- nent. Description «lu fruit, â Grosseur: volu- mineuse. â Forme : coni- que-allongée , légèrement pentagone et ventrue. â Pédoncule : de longueur moyenne, généralement assez grêle et toujours profondément inséré. â Åil : grand, mi-clos ou fermé, faiblement coton- neux , à cavité étroite, mais creuse et très-plissée. â Peau : unie, jaune sale, presque entièrement marbrée de rouge-brun clair, striée et rubannée de carmin foncé, parsemée de larges points gris ou bruns et quelque peu maculée de fauve squammeux autour du pédoncule. â Chair : blanche, peu compacte, des plus tendres. â Eau : rarement abondante, sucrée, dépourvue d'acidité mais assez délicatement parfumée. Maturité â Octobre-Février. Qualité. â Deuxième. Historique. âD'Amérique, où il fut obtenu vers 1810, ce pommier passa chez les Anglais avant 1819, car le 15 novembre 1822 sir George Caswall, qui le culti- vait dans son domaine de Sacombe Park, en présentait des fruits à la Société horticole de Londres (voir les Transactions, t. V, p. 401). De là il se répandit en France, et je constate par mon Catalogue de 1848 qu'alors on l'y considérait encore comme une nouveauté (p. 20). Dans ses Fruits and fruit trees of America, A. J. Downing écrivait en 1849 : Â


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