Svenska vetenskapsakademien handlingar . et qui est dautant plusgrande quelle se rapprocbe davantage du péristome,sabsorbe lorsque la plaque se détache, et disparaitbien vite. La plaque diminue par son bord inférieur,et son mamelon radiolaire se rapetisse, mais elleaugmente fortement en largeur, surtout du coté de1aire interradiale, de méme quen profondeur, et ellese transforme ainsi en une écaille mince, dont lebord inférieur se place au-dessus de celle qui la pré-céde. Les pores viennent se placer dans un enfon-cement qui sapprofondit peu ä peu, leurs ouver-tures prenant une extension transv
Svenska vetenskapsakademien handlingar . et qui est dautant plusgrande quelle se rapprocbe davantage du péristome,sabsorbe lorsque la plaque se détache, et disparaitbien vite. La plaque diminue par son bord inférieur,et son mamelon radiolaire se rapetisse, mais elleaugmente fortement en largeur, surtout du coté de1aire interradiale, de méme quen profondeur, et ellese transforme ainsi en une écaille mince, dont lebord inférieur se place au-dessus de celle qui la pré-céde. Les pores viennent se placer dans un enfon-cement qui sapprofondit peu ä peu, leurs ouver-tures prenant une extension transversale et chan-geant leur position mutuelle. Ambnlacre III de la Cidaris hystrix Lamk. 1,1, les plaque? les plus ägéesdont celle de la rangée b, appartenant a la serie , est plus graude quePautre. 9,9, les neuviémes plaques des deux raugées, dont celle de la rangée best sur le point de se dégager, la suture coinmencant a souvrir sa moitié, la9:eme de la rangée a, étant déja libre et transformée en é Partie péristomienne d un ambulacre de la Cidaris papillataLeske, vue de Pintérieur. Les proémiuences, trés-développéespres du bord, jusqua former une espéce de galerie percée ajour, qui doit contribuer a contenir les plaques ambulacrales,décroissent subitenient sur les plaques en voie de se dégager. J) Fig. 166. -) Fig. 168. 3) Fig. 167. 4) Fig. 166—168, 169, a—h. 30 S. LOVEN, ETUDES SUR LES ÉCHINOIDEES. Telle est 1origine des écailles imbriquées de la membrane buccale des Cidaris,lesquelles ne sont réellement que des plaques ambulacraires métamorphosées ). Il estevident que, dans leurs rangées, les paires qui se trouvent le plus prés de la bouchesont les plus ågées. Les autres se sont détachées de la couronne, chacune ä sontour, en sajoutant ainsi au nombre des écailles imbriquées déjä formées. Cest dans ce caractére different des arabulacres. que réside la profonde divergenceexistant entré les Cidarides, dun
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