. Revue de l'art chrétien . ngienne ? Les colonnes enmarbre employées dans la basilique de sont-elles méro-vingiennes? — Est-il probable, comme la dit M. labbé Tourneurau Congrès de 1855, quil se trouve à des vitraux quipuissent remonter au XIe siècle? — Lintérieur de la cathédrale deReims a-t-il toujours été distribué comme il Test aujourdhui? — On a découvert récemment à Aindre (Loire-Inférieure), unepierre tombale de lépoque mérovingienne. Cest dans les ruines delancien prieuré fondé par saint Hermeland quon a exhumé cettedalle funéraire en schiste ardoisier qui fait maint
. Revue de l'art chrétien . ngienne ? Les colonnes enmarbre employées dans la basilique de sont-elles méro-vingiennes? — Est-il probable, comme la dit M. labbé Tourneurau Congrès de 1855, quil se trouve à des vitraux quipuissent remonter au XIe siècle? — Lintérieur de la cathédrale deReims a-t-il toujours été distribué comme il Test aujourdhui? — On a découvert récemment à Aindre (Loire-Inférieure), unepierre tombale de lépoque mérovingienne. Cest dans les ruines delancien prieuré fondé par saint Hermeland quon a exhumé cettedalle funéraire en schiste ardoisier qui fait maintenant partie dumusée de Nantes. Ses ornements consistent en une croix pomme-trée, un cerf, un lion, des croix pattées. On y lit en lettres capitales : S REQUISQIT. M. de la Nïcollière, qui a adressé un rapport sur ce monument à la société archéologique de Nantes,suppose que cest le tombeau de SadRevertuS, disciple et ami desaint Hermeland, qui vivait à la fin du VII0 siècle. j. lUiublegothiyiic en bois du XMe siècle,placé daus Cy/isc f,«roissiah> de Biwerùmes i/Jcb/u/ae, RETABLE GOTHIQUEde léglise paroissiale de Buvrinnes. Le diocèse actuel de Tournai, composé de la province deHainaut, ne compte pas moins de 4-60 églises villes en renferment 55; les autres appartiennent auxcommunes rurales. Il ne subsiste dans les églises de cette dernière catégorieque très peu dobjets dameublement anciens, dont le mériteartistique soit digne dattirer lattention de larché est obligé den visiter un grand nombre avant dy ren-contrer quelque production de nos artistes des siècles passés. Doit-on conclure de cette pauvreté de nos édifices religieuxque lArt chrétien, qui a fleuri au plus haut degré à diversesépoques dans la plupart des provinces voisines, ait été négligédans le Hainaut? Pas du tout. On ne peut méconnaître lesnoms de maître Arnould de Binche, de Jacques Du Brœucq,de Jean De Th
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