. La vie du Vénérable Père Dom Claude Martin, décédé en odeur de sainteté le 9 août 1969 . y du R. P. Dom Claude Martin. Dom Claude Martin. ip5 ^-vA-o r-y-^ r^^r\ c>.^r\ r^\^ r^\/^ Pw^^ r^v^ rvN^ r^^ r^^-^^ ^-Y^-^ .o»^,^ V>^/^J V>-v^^ Ov>^ L^/^-» V^s-^ VyvN^ V^sO Vyvv-» ^•Vx^ LA VIE DU VENERAB LE PERE DOM CLAUDE MARTIN. LIVRE TROI S I EM E. Contenant fon état de fimple Religieuxaprès fa dcpofuion. CHAPITRE I. /. // demande fa de^ojtrion avec beaucoup dhti^milité, IL Les motifs qm luj firent demanderd^être déchargé de la ftiperiortté. III. Les fain^tes dijpofttïons avec lefquelles i
. La vie du Vénérable Père Dom Claude Martin, décédé en odeur de sainteté le 9 août 1969 . y du R. P. Dom Claude Martin. Dom Claude Martin. ip5 ^-vA-o r-y-^ r^^r\ c>.^r\ r^\^ r^\/^ Pw^^ r^v^ rvN^ r^^ r^^-^^ ^-Y^-^ .o»^,^ V>^/^J V>-v^^ Ov>^ L^/^-» V^s-^ VyvN^ V^sO Vyvv-» ^•Vx^ LA VIE DU VENERAB LE PERE DOM CLAUDE MARTIN. LIVRE TROI S I EM E. Contenant fon état de fimple Religieuxaprès fa dcpofuion. CHAPITRE I. /. // demande fa de^ojtrion avec beaucoup dhti^milité, IL Les motifs qm luj firent demanderd^être déchargé de la ftiperiortté. III. Les fain^tes dijpofttïons avec lefquelles il reçut fa depof-tion y (jr combien tout le monde en fut édifié,IV, La tri fieffé de fes Religieux & des Supé-rieurs mîmes, V, Son amour pour la mortifca^tion cfr pour la pauvreté , fon grand détache-ment de toutes chofes, VL II soccupe unique-ment de Dieu* iOus venons de lailTer le vénérablePère Dom Claude Martin à la têtedun Chapitre gênerai. Il sétoit éle-vé à ce rang par les fervices confide-rables quil avoit rendu à la Religion, ôc par fes N i;. tSf6 ta, vie du oeneYahle Père vertus fablimes, fur tout par Ton humilité. Maiscette même humilité qui îavoit rendu digne despiemieres Charges & des principaux emplois dôla Congrégation , de premier quil étoit, va lerendre le dernier de tous, & faire violence à unôvénérable affèmblée, pour le mettre au delTous de?ceux qui auroieiit voulu lavoir toujours pour Icutchef, sil avoit pu toujours vivre. Ils voyoientcette brillante lumière fur le point de séteindre,& fa clarté leur paroiffoit (\ belle, 6c (î utile à laReligion, quils ne pouvoient fc refoudre à ne lapoint lailTer fur le chandelier, dût-elle ny êtreexpofée que peu de jours. Ils étoient tous déter-minez à le continuer dans la fuperiorité : il sagif-foit, de luy trouver un pofte, où il pu être un peuen repos : & lon nen voyoit point qui luy con-vint mieux que celuy dAlîiftant. Le R. P. Generalqui connoiiToi
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