. Le tresor des merueilles de la maison royale de Fontainebleau : contenant la description de son antiquité, de sa fondation, de ses bastimens, de ses rares peintures, tableaux, emblemes, & deuises : de ses iardins, de ses fontaines, & autres singularitez qui s'y voyent ... . mp;: de fon adreffe :mais entre tous il fut aduoUé dvn chacun,& fansflat-terie,que Monfeigneur le Dauphin auoit mérité le prix,& lhonneur de ce Tournoy , ne seftant épargné à la,ioufte à la rencontre des coups , dc à brifcr contre tousceux du party contraire. DE FONTAINEBLEAV. LîVRE III. 2,19Toutes ces magnificences acheu


. Le tresor des merueilles de la maison royale de Fontainebleau : contenant la description de son antiquité, de sa fondation, de ses bastimens, de ses rares peintures, tableaux, emblemes, & deuises : de ses iardins, de ses fontaines, & autres singularitez qui s'y voyent ... . mp;: de fon adreffe :mais entre tous il fut aduoUé dvn chacun,& fansflat-terie,que Monfeigneur le Dauphin auoit mérité le prix,& lhonneur de ce Tournoy , ne seftant épargné à la,ioufte à la rencontre des coups , dc à brifcr contre tousceux du party contraire. DE FONTAINEBLEAV. LîVRE III. 2,19Toutes ces magnificences acheuées , les AmbafTa-deurs dAngleterre sen retournèrent chargez de pre-fens 5 àc de grandes fatisfadions des honneurs quilsauoient receus du Roy j &;faMaieflé partant dicy, senalla courre le Cerf en laForeft dOrléans, DVNE ACTION ROYALE, ET mémorable de François I. faite à Fontainebleauquelques mois auant fon deceds , releuant dvncgrande maladie. Chapitre VII L /. Quelle efi lamitié de lafluspart des Courtifans. II. Ils abandonnent le Roymaladey& fument le Dau-phin. III. Le Roj releue de mala- die i & de linuention dont LAn de// vja pour rappeUer /ipj ChristCourtijàns. ^^♦7-. é Royale mdoit Joujfrir efire j^ EVX qui pour parler fîncerement de la-I mitié de laplufpart desCourtifans,ontdith quelle fuit pluftofl la bonne Fortune deceluy qui lapofTede, que non pas la Perfon-ne , ont certes bien rencontré j puifquelexpérience en donne trop fouuent des preuues , &quil neft que trop vray que les amorces de lintereftfont dordinaire les fecrets refforts qui aduancent oureculent leurs affedionSjô^: leurs feruices^qui femblentfinir quant 6c quant lintereiL Ce fut ce que le grandRoy François fceut fort bien reconnoiftre , lors que-ftant tombé malade en ce Chafteau quelques moisauant fon deceds, où fa maladie alla iufques à cepoind,quil yauoitplus dapparence de mort, que defperancede guarifon, pour le moins quil neftoit pas pour viureen


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