Velazquez . Dans le livre déjà eité de M. Cruzada Aillaaniil (p. loi), il y a une longue liste daprèsle Joeniiniil originaP daté du i5 septembre iliî;, sai- laquelle llgiirent tous les nains, bouffons,musiciens, barbiers, etc., à qui I on accordait des « babits de merci ». Il y est dit, entre autreschoses curieuses, que « les lial)its des barbiers et de Diego Velazquez peuvent être réduits à 80 ducats et ceux des enq)b)y(-s di la garde-robe à ^o ducats ». Dans son intéressant ouvrageLa Cofte y Monarquin dr I\^])>uni en los aiios de 1036 y 31 (Madrid, 1886), don A. Rodrigue^Mlla
Velazquez . Dans le livre déjà eité de M. Cruzada Aillaaniil (p. loi), il y a une longue liste daprèsle Joeniiniil originaP daté du i5 septembre iliî;, sai- laquelle llgiirent tous les nains, bouffons,musiciens, barbiers, etc., à qui I on accordait des « babits de merci ». Il y est dit, entre autreschoses curieuses, que « les lial)its des barbiers et de Diego Velazquez peuvent être réduits à 80 ducats et ceux des enq)b)y(-s di la garde-robe à ^o ducats ». Dans son intéressant ouvrageLa Cofte y Monarquin dr I\^])>uni en los aiios de 1036 y 31 (Madrid, 1886), don A. Rodrigue^Mlla a publié un document original oii sont notées les places assignées aux invités à une course 125 ces lyotiffons lexécution dune série de portraits dont la diversité révélaune nouv(dle face du talent de \ elazcjuez. Une fols <le plus éclata lepouvoir niagicpie de lart, (|ui peut émouvoir aiissi puissamment à laidedu laid et même du répugnant quau moyen de lagréable et du IV (Urlal! dii puilr;ut ûi[iicsIro.) Comme la dit (icctlie : « LArt est noble en soi ; aussi lartiste ne redoute-t-il pas le vulg-aire et Ic^ trivial. Admettre do tels éléments, cest lesennoblir ; aussi voyons-nous les j)lus grands artistes exercer hardimentleur prérogative souveraine ». En effet, dans le cas qui nous occupie, de taureaux qui eul lieu siii la JInzn M<u/nr en tGiS. \elaz(|uez lsl lelégiii!- au quatrième étage,parmi les domesli(iues des grands de la eour, les barbiers de la ciiaïubre loyale et autres em-ployés de basse ealégorie. I 26 VEI,A7,QUEZ ail lien de nous amener, par snito dune association didées, à consi-dérer j)iir delà ces types de dégénérescence pliysiqne et morale, les mauxet les misères de lespèce entière, et à en é])ronver, par suite, du nudaise et du dégoût, lavue de ces portraits nousravit dans une admira
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