. La vie de Monsieur le duc de Montausier : pair de France, gouverneur de monseigneur Louis dauphin, bisayeul du roi a present ¢leur ex-prime, Et qui ne sentend que des yeux ; Si vous me voyez le teint blême,Ce neft plus moi, ceft vous que jaime*4. Idem. N ij H* LE NARCISSE. MADRIGAL. TE Pris de lamour de moi-même De Berger que jétois* je devins unefleur,Faites profit de mon malheur tVous que le Ciel orna dune beauté fa*» prcmeEt pour en éviter les coupsPuifquil faut que tout aime, aimez daurres que vous. i. M. de £ Artillerie* ï4§ LE NARCISSE, MADRIGAL. QUand je v


. La vie de Monsieur le duc de Montausier : pair de France, gouverneur de monseigneur Louis dauphin, bisayeul du roi a present ¢leur ex-prime, Et qui ne sentend que des yeux ; Si vous me voyez le teint blême,Ce neft plus moi, ceft vous que jaime*4. Idem. N ij H* LE NARCISSE. MADRIGAL. TE Pris de lamour de moi-même De Berger que jétois* je devins unefleur,Faites profit de mon malheur tVous que le Ciel orna dune beauté fa*» prcmeEt pour en éviter les coupsPuifquil faut que tout aime, aimez daurres que vous. i. M. de £ Artillerie* ï4§ LE NARCISSE, MADRIGAL. QUand je vois vos beaux yeux fi brillants& fî douxQui nont plus déformais rien à prendre que vous,Leur éclat meft fufped & pour vous jV préhende,Souvent ce riche don eft chèrement vendueJe fçai que ma beauté ne fut jamais fi fçait toutefois comme elle ma perdu» x. M. Habert* Abbé de Cenjj* LA M A R A N T E. MADRIGAL. JE fuis la fleur damour quAmarante onappelleEt qui vient de Julie adorer les beaux 3 retirez-vous : jai le nom dimmor-telle ,Il nappartient quà moi de couronner lesDieux, I. GOMBAUD,. LANGELIQUE. ) Eccvez mon fervice, adorable Julie 9^^ Seule que la nature a fait naître ac-complie,Ah 1 que jeftimerat mon deftin glorieuxSi votre belle main fur vos cheveux map-plique !je fuis favorite des CieuxJe porte le nom dAngélique-,Mais je nignore pas quau jugement d#tousJe la fuis beaucoup moins que vous. 5. M. DE MONTAUSIER* 4P LVANGELI Q^U E. MADRIGAL QUand toutes les fleurs prennent placeSur ly voire de votre faut que par raifon je fafTeCe que par audace elles font,Et certes fi la voix publique,Me nomme par tout AngéliqueEt me donne tant de renomJe répons mai à ces louanges,Et ne mérite plus mon nom,Si je__ne couronne les Anges* 3. Malleville. LOEILLET. L OE I L L E T. MADRIGAL. len que dans lempire des fleurs B Jefpére emporter la couronneDeflus toutes mes autres fÅursA


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